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| Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.] | |
| Auteur | Message |
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MEMBRE SUPER CLASSE
|métier| : Baron de la drogue | Voleur |statut civil| : Tant d'amour et si peu de Sean. |âge du perso| : 37
“Don't you know that killing is thrilling ? All the blood spilling, is all up on the drug dealing.”
“In the cookies of life, sisters are the chocolate chips.”
“Everything is strange, complex and complicated, but this are the features which make it incredible.”
“If they ask her, tell 'em that we're just good friends.”
“When your ex says : You’ll never find anyone like me. Just smile and reply : that’s the point.”
“Always two there are, no more, no less. A master and an apprentice.”
Hanna #2 | Marya #2 #3 | Stacy
|célébrité| : Stephen Amell |crédits| : Avatar : Moi - Signature : Beylin |pseudo/prénom| : Damien |dcs| : Aucun |nombre de messages| : 969
| Sujet: Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.] Dim 8 Mar - 17:13 | |
| Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.]Depuis cette bien étrange nuit passé à la Taverne en compagnie d'Hanna, pas mal de temps s'étaient écoulés, des choses des plus étranges m'étaient arrivés, des choses que je n'aurais jamais soupçonnés. Premièrement, il y avait cette fille, Hanaé Peterson qui n'était autre que ma demi-sœur, fruit du deuxième mariage de ma mère qui semblait irradiée de bonheur depuis qu'elle avait quittée mon père, tout le contraire de ma personne qui avait connu l'enfer au moment où elle s'en était allée. Ensuite, j'avais vu une personne que je pensais ne plus jamais revoir, que je voulais ne plus jamais revoir... Diana Eris, une ex que j'avais rencontré lors d'un voyage aux États-Unis et qui, à ma grande surprise, n'était pas venue ici seule... toutes ces choses me perdaient au plus haut point, me donnant la sensation de ne plus du tout être maitre de mon destin, me contentant d'être un spectateur observant mon propre passé venir me frapper en pleine face à plusieurs reprises. J'avais donc un grand besoin de changement, besoin d'avoir un minimum de contrôle sur d'autres aspects de ma vie et pour ça, quoi de mieux que de faire ce que j'avais fait ? Un jour soir, un coup de folie m'avait prit et sur un coup de tête, j'avais saisi mon portable pour appeler Hanna et lui proposer la chose la plus inenvisageable venant de moi... un rencard. Dans un premier temps, mon amie s'était montrée assez sceptique concernant cette idée, mais quelques jours de réflexion lui suffit à prendre une décision encore plus folle que la mienne en acceptant ma proposition. Néanmoins, il ne fallait pas s'y méprendre, en soit, cela ne voulait rien dire puisque tout pouvait se passer parfaitement bien sans que notre relation n'évolue pour autant. C'était juste... disons... un moyen pour savoir où nous en étions actuellement, afin de savoir s'il valait mieux rester au stade où nous nous trouvions actuellement ou non. Du moins, c'est comme ça que je voyait les choses, c'était plus une sorte de test que quelque chose de concret, d'autant plus que je m'imaginais très mal former un couple avec Hanna à la fin de cette soirée.
J'attendais donc la jeune femme dans le parc qui ne serait bien entendu pas le lieu de rendez-vous, mais simplement l'endroit où je voulais qu'elle me rejoigne afin de lui faire la surprise concernant le véritable lieu où nous nous rendrons ensemble. Elle avait beau ne pas adorée les surprises, je savais parfaitement que celle-ci allait lui faire plaisir, je connaissait suffisamment Hanna pour le savoir. D'ailleurs, celle-ci ne devait plus trop tarder à apparaitre vu l'heure, d'autant plus qu'une silhouette se dessinait au loin et... celle-ci n'était pas seule et était loin, très loin d'être féminine... haussant un sourcil, j'aperçus rapidement une bande d'homme se diriger vers moi en me lançant un regard qui voulait tout dire... ils étaient ici pour s'occuper de mon cas, la raison n'étant pas bien difficile à imaginer...« DEALER » Sean Reid... nous tenons enfin l'homme nous ayant prit notre territoire. Tu as peut-être réussi à nous intimider un par un, mais ensembles, tu ne peux absolument rien ! ... Et qu'est-ce que tu fous au juste là ?! « SEAN REID » Je comptes le nombre de personnes qui vont perdre leurs dents et le nombre d'imbéciles que je vois. Les chiffres sont formels, vous appartenez tous aux deux catégories. Malgré mon arrogance, je n'étais pas stupide, je savais pertinemment que je ne pourrais absolument rien faire face à une dizaines de personnes voulant ma peau. J'avais beau savoir me battre, je n'étais pas un sur-homme pouvant détruire n'importe qui en un seul claquement de doigt. Tout ce que j'espérais à présent, c'était qu'Hanna prenne bien son temps afin de me laisser libre loisir de me débarrasser d'eux d'une manière ou d'une autre... mais comme si ça ne suffisait pas, voilà qu'elle venait d'apparaitre auprès de moi face à une armada de personne qui se feraient un malin plaisir de me cogner jusqu'à ce que leurs muscles endoloris leurs demandent d'arrêter. Parvenant à garder mon calme malgré la situation dans laquelle je m'étais fourré, je tournais la tête en direction de mon amie pour lui adresser un sourire des plus sincère.« SEAN REID » Tu es ravissante ce soir Hanna. Mais j'ai une question pour toi : tu cours vite ? SEAN REID |
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Sean #1 & Olivier & Daniel & Mia & Marya & Taïla
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| Sujet: Re: Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.] Lun 16 Mar - 20:28 | |
| .Time is running out Les semaines s’étaient écoulées tranquillement, depuis cette fameuse soirée avec Sean. Je n’avais pas retouché à une seule goutte d’alcool, allant même à proscrire les désinfectants de mon armoire à pharmacie, ainsi que les produits nettoyant. Les astuces de grand-mère ont été mes amies, il faut dire que leur efficacité est sous-estimée. Je ne supportais plus l’odeur de l’alcool quelle que soit la forme sous laquelle il était. Je dois avouer que la gueule de bois qui m’a poursuivie dès le lendemain matin m’a fait regretter la moindre goutte ingérée. Plus jamais. Je me suis jurée que plus jamais je ne ruinerai mes efforts d’abstinence à cause de cette chose étrange qui a pointé le bout de son nez – une légende raconte que l’on appellerait ça « sentiments ». C’est incroyable ce que les gens parviennent à inventer, parfois. Je me suis même mise à manger bio, sous le conseil d’un ami. Je m’y suis tenue, du moins les premiers temps. Le goût n’y était pas toujours mais je suis persuadée que ça m’a été bénéfique dans un certain sens. C’est lorsque ce même ami m’a conseillé de devenir végétarienne que j’ai compris qu’il se fichait de moi. Abandonnant ce régime alimentaire sans autre forme de procès, j’ai réalisé à quel point la malbouffe m’avait manquée. J’en étais donc à ce stade de ma vie au moment où un miracle s’est produit. Les poules se sont mises à croquer la vie à pleine dents ; en levant les yeux, on pouvait apercevoir des cochons filer dans le ciel ; Noël est tombé en juillet, et Sean m’a proposé un rencard. Ce dernier point était moins probable que les trois premiers réunis, et pourtant. Lorsqu’il m’avait appelé pour me le proposer, je n’ai pas donné de réponse immédiate. J’ai préféré attendre, premièrement pour savoir si accepter était la bonne décision… et… majoritairement, d’accord, pour me laisser désirer. Juste pour qu’il ne me confonde pas avec ces filles qui l’auraient même payé pour qu’il les invite. Et puis, Hanna restera toujours Hanna, c’est aussi simple que ça ! J’ai toujours trouvé passionnant de jouer avec son égo. A cette pensée, un sourire étire mes lèvres. Je marche dans le parc de Quertal, suivant le chemin encadré par des lampadaires. Les lumières orangées se détachent du ciel. Au loin, j’aperçois une silhouette familière. Nerveuse l’espace d’une seconde, je lisse ma robe bleu-nuit et prend une profonde inspiration. Je me promets que je ne douterai plus du reste de la soirée. D’autres silhouettes apparaissent dans mon champ de vision. Je ralentis, faisant presque du surplace. Sean a l’air d’avoir des ennuis. Sans hésiter, je le rejoins en quelques enjambées. Ma main descend brièvement sur son bras pour l’avertir de ma présence. Du coin de l’œil, je compte le nombre d’hommes qui nous font face. Cinq. Je rends un sourire joyeux à Sean. Il faut croire que nous sommes deux spécimens plutôt incongrus, puisque même dans une situation telle, je parviens à rire. C’est vrai, dans quel monde est-ce que l’on peut dire ces deux phrases à la suite de façon tout à fait naturelle, et qui plus est, à un rencard ? Je baisse les yeux sur mes chaussures. Point négatif : J’ai mis des talons hauts. Point positif : A vrai dire, il n’y en a pas. Mais elles tiennent plutôt bien mes chevilles et mon expérience en matière de s’attirer des ennuis m’a permis de courir avec ce type de chaussures aussi bien qu’avec des baskets. D’un autre coup d’œil, je jauge nos protagonistes. Ils n’ont pas l’air d’être du type à accepter les compromis. Je relève les yeux vers lui et croise les bras. Mon regard, déterminé et planté dans le sien parle pour moi. L’air de lui dire de se tenir prêt.
« Merci, Sean, toi aussi tu es très élégant. D’ailleurs, c’est assez marrant que tu me demandes ça, parce-… »
Ni une ni deux, je m’élance à toute vitesse à ses côtés. Filant à travers le parc, le vent éclate sur mes joues. Je profite d’une bifurcation des chemins pour virer brusquement à droite, hors terrain, l’entrainant avec moi. Inutile de préciser que je connais ce parc comme personne, je viens y courir tous les matins. Je manque de trébucher mais nous descendons en trombe une petite colline. Je le pousse une ultime fois sur notre gauche, pour nous propulser contre un cabanon. Je le maintiens d’une main sur l’épaule et garde les yeux rivés sur les silhouettes des hommes qui risquent de nous retrouver d’une seconde à l’autre. Sans les quitter des yeux, je murmure d’une voix à la fois douce et amusée. « Et maintenant ? Un plan B ? »
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| Sujet: Re: Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.] Ven 20 Mar - 3:54 | |
| Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.]Alors que les crétins étaient toujours présent, Hanna et moi-même les ignorons tout bonnement, le regard de l'un planté dans celui de l'autre malgré la situation qui aurait pu être dangereuse... pour une personne ordinaire tout du moins. Car là, il s'agissait de Sean Reid et Hanna Lancaster, deux personnes habituées à s'attirer des ennuis depuis leurs plus jeunes âges, à tel point que s'en était presque devenu quelque chose d'habituel. Pour ma part, j'avais connu pire, bien pire et pourtant, je m'en était toujours sortis sans le moindre soucis. J'ai même vécu plus d'une fois ce qui serait considérer comme étant l'enfer pour une personne tout à fait normale, comme lors de mes passages en prisons... finalement, ce n'était pas aussi terrible que ce que l'on prétendait. M'enfin... reprenant mes esprits, je me rendis alors compte que mes assaillants s'apprêtaient à passer à l'action et c'est à ce moment-là que mon amie et moi nous élancions à travers le parc, allant si vite que le vent me fouettait le visage, luttant pour garder les yeux ouverts. Ne connaissant que très peu les lieux, je m'arrangeait pour m'adapter à la vitesse de la belle brune - ce qui n'était pas si évident que ça, puisque j'étais bien plus rapide qu'elle - qui faisait office de guide. Celle-ci m'entraine même plus d'une fois et fini même par me pousser contre un cabanon où nous nous arrêtions enfin. Mais tout n'était pas terminé puisque les silhouettes des imbéciles commençaient à se dessiner au loin. C'est à ce moment précis qu'Hanna me demanda, sur un ton à la fois doux et amusé, si j'avais une idée en tête pour nous sortir de là. Lui répondant avec un sourire malicieux, je lui fis signe d'observer ce que j'allais faire tandis que je m'approchais de la porte du cabanon, maintenue verrouiller par un cadenas. Plongeant ma main dans la poche de ma veste, je sortis ce dont j'avais besoin et en quelques secondes à peines, je parviens à ouvrir le cadenas qui se trouve à présent dans ma main, l'exhibant à Hanna pour lui faire comprendre que nous avions un échappatoire.« SEAN REID » Me poses pas de question là-dessus. Après avoir dit cela sur un ton amusé, j'entrais en premier à l'intérieur du cabanon qui n'étais certes pas bien grand, mais clairement assez pour tenir à deux. Attendant donc qu'Hanna me rejoigne, je refermais la porte derrière elle pour remettre le cadenas en place, mais de notre côté cette fois-ci. Ainsi, personne ne pourrait nous rejoindre sans défoncer la porte... et c'est précisément ce que j'attendais en réalité, afin de pouvoir riposter sans aucuns soucis grâce à ma ruse hors du commun. Malgré l'obscurité régnante, je parviens à retrouver la magnifique brune, ou du moins, ma main parvient à trouver la sienne et je m'approche donc de cette dernière afin de lui adresser la parole comme si de rien n'était, comme si nous nous trouvons dans une situation tout à fait normale.« SEAN REID » Assez inattendu comme rencard, n'est-ce pas ? Mais ce n'est que le début de la soirée, nous aurions tout le temps de nous rendre à l'endroit que j'ai prévu plus tard. Lieu que je garderais secret jusqu'au bout. Un sourire amusé se dessina sur mes lèvres, je savais parfaitement qu'elle avait horreur des surprises et pourtant, je venais soudainement de mettre en avant le fait que je ne lui dévoilerais absolument pas l'endroit où j'avais prévu de l'emmenée ce qui n'allait pas tarder à éveiller sa curiosité. Tout ce que je pouvais lui dire si elle le souhaitait, c'était que ça lui plairait très certainement... et puis c'était un peu le but, non ? Il faudrait être plus que stupide pour faire quelque chose qu'elle déteste pour un premier rancard. Restant silencieux pendant quelques instants afin d'être à l'écoute, voulant repérer une personne si jamais elle s'approchait d'ici, ce qui n'était pas le cas apparemment.« SEAN REID » T'en fais pas, on ne restera pas ici bien longtemps. Quelques minutes seulement et ensuite on s'en va. Et si jamais quelqu'un viens à nous et bien... je réglerais la situation à ma sauce. SEAN REID |
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| Sujet: Re: Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.] Dim 29 Mar - 0:55 | |
| .Time is running out Les yeux fixés sur les silhouettes non loin de là qui semblent se mouvoir à la recherche du moindre craquement de brindille, je reste calme. Non pas que je sois de nature à avoir le sang-froid, loin de moi cette idée absurde. Je ne m’autorise seulement pas à paniquer. Parce que paniquer, ça reviendrait à avoir peur et que ce n’est pas le cas. Paniquer, c’est être incapable d’être maître de ses mouvements ; c’est prendre le risque de se faire repérer. Et même si je sais que Sean n’est pas du genre à se laisser faire, ils sont cinq et qui plus est, ne se sont pas déplacés pour une histoire anodine. Ça pourrait vraiment mal se finir. Et pourtant, nous n’agissons pas vraiment comme si nous en avions conscience, prenant presque tout cela pour un jeu. Une course poursuite comme on avait coutume d’avoir, étant petits. Un instant, il arbore un sourire malicieux particulièrement craquant. En quelques secondes, le cadenas qui fermait le cabanon se trouve dans sa main. Je lève les yeux au ciel, amusée, et le suis à l’intérieur. Sa façon de s’accommoder de n’importe quelle situation pour la tourner à son avantage me fera toujours rire. L’espace d’un instant, j’évalue la situation. Nous sommes dans un endroit clos plongé dans l’obscurité. C’est une petite structure en bois ; quelques filets de lumière sont filtrés à travers des trous, ou encore des espaces entre deux planches. Dans l’obscurité, j’aperçois ce qu’il me semble être des outils de jardinage. Je me heurte même à une tondeuse en reculant. Et dire que je suis passée devant cet endroit chaque jour lorsque je courrais dans le parc… Pas une seule seconde je n’aurais envisagé m’y retrouver enfermée. Encore moins pour un rencard. Encore moins avec Sean. Et pourtant, tout ça a un sens : nous deux réunis, il ne pouvait se passer de choses plus inattendues. Sa main trouve la mienne, me tirant de mes pensées. « Assez inattendu comme rencard, n'est-ce pas ? Mais ce n'est que le début de la soirée, nous aurions tout le temps de nous rendre à l'endroit que j'ai prévu plus tard. Lieu que je garderais secret jusqu'au bout. » Je sais qu’il essaie de jouer avec ma curiosité. De la même façon que je m’amuse à jouer avec son égo. Le pire, c’est que dans les deux cas, ça marche. J’essaie de prendre sur moi : Allez Hanna, ce n’est pas grave de ne pas savoir quelque chose. Il va juste garder le secret jusqu’au bout, ce n’est rien ! … Qu’est-ce que je déteste les surprises. En fait, non. Je les adore, mais uniquement lorsque j’ai deviné en avance… ou que j’ai ne serait-ce qu’une petite idée. Là, c’est le néant, le blanc total, ou le noir total, si on se fie à la situation actuelle. Bref, ça craint. Actuellement, je suis surtout en train de focaliser mes pensées sur tout et n’importe quoi. Je fais tout pour oublier que nous sommes enfermés dans un endroit clos. Je fais tout pour oublier que je suis claustrophobe. Cette phobie m’a poursuivie durant toute mon enfance. Elle m’a créée des ennemis, Easton par exemple, et finalement, des amis, Easton étant également un exemple de ce côté-là. C’est une longue histoire dont la seule explication s’avère être le temps. Toujours est-il que la provocation de Sean détourne mes pensées du lieu étroit. S’il croit avoir le monopole de la provoc’, il est mal tombé ! Je fais un pas vers lui et lui adresse un regard espiègle :
« D’ici là, j’ai largement le temps de te faire craquer. Tu lâcheras le morceau. »
Un sourire en coin, la détermination se lisant sur mon visage, je pose une main sur ma hanche. Ma curiosité dicte mes mouvements et renforce mon assurance. J’oublie presque que nous sommes en fuite, réfugiés dans un endroit clos. Son ton amusé me détend immédiatement. Lui aussi, a confiance en lui. Je vois ici une opportunité de le chambrer que je ne peux décliner. Ce serait contre mes idéologies, toutes destinées à l’importuner.
« C’est plutôt Si nous pouvons nous rendre à ce fameux endroit. Parce que si on fait confiance à tes talents de règlement de compte… autant appeler Dorine. Même morte, elle nous serait plus utile. »
Je plaisante, amusée. Ce que je viens de dire est une telle aberration que je ne peux m’empêcher de rire doucement à la tête qu’il fait. Il est bien connu que Sean puisse se sortir de n’importe quelle situation sans grands efforts. Et si j’ai un attrait naturel pour le vanner en toutes circonstances, je dois avouer que j’ai besoin de détourner mon attention des murs qui semblent se rapprocher de plus en plus. Hallucination. Peut-être qu’il s’en doute. Je l’espère, cela m’éviterait de finir en pâté pour chat. Je ne peux cependant pas me délecter de sa réaction plus longtemps. Les voix se rapprochent. Je saisis quelques bribes de leurs conversations tandis que je me raidis, cessant même inconsciemment de respirer. Ils ont remarqué que le cadenas n’est plus à sa place. Il se passe quelques secondes avant qu’un violent coup ne s’abatte sur la porte. Elle grogne mais résiste. Tout le cabanon vient de vibrer. Il ne pouvait pas être fait en acier, surtout ! Ça aurait été trop facile, c’est ça ? S’ensuit un long silence. Pesant. Nous n’entendons plus que de vagues bruits de pas entourant l’habitacle. Je suis incapable de détacher mes yeux de la porte. Instinctivement, je saisis la première chose à ma droite. Un râteau. Oui, je compte vraiment faire face à cinq dealers en me battant avec un râteau. Je pourrais presque entendre Sean pouffer derrière moi. Un râteau comme arme, c’est ridicule. Je me félicite toutefois, remarquant un certain progrès. Il y a quelques semaines, dans une situation en certains points semblable, j’avais tenté de me protéger à l’aide d’une vieille lampe à fanfreluches. Franchement, après ça, plus rien ne peut être remis en question. Brusquement, un coup s’effondre sur le mur derrière moi. Je sursaute. Tout tremble. Je constate avec effroi qu’ils sont en train de frapper chaque mur du cabanon. Ils essaient de le faire tomber.
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| Sujet: Re: Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.] Jeu 2 Avr - 21:45 | |
| Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.]Pitoyable, pathétique... ces mots correspondaient bien aux hommes qui pensaient avoir la moindre emprise sur moi. Qui pourraient en avoir d'ailleurs ? Des dealers, j'en suis le roi et tous aimeraient prendre ma place afin d'avoir ne serais-ce que la moitié des bénéfices que je peux me faire. Il n'était donc pas très étonnant de voir des alliances de ce genre pour tenter de me détrôner, mais ce qu'ils ne savaient pas, c'était qu'ils étaient loin, très loin d'être les premiers et que d'habitude, cela se passait extrêmement mal... pour eux. Alors que j'avais fait sauté le cadenas du cabanon, j'invitais Hanna à me suivre à l'intérieur de ce dernier afin d'être en "sécurité" même si je ne comptais pas me cacher longtemps, juste assez pour avoir le temps de reprendre l'ascendant en utilisant mon brillant cerveau, chose que ne possédaient pas ces imbéciles auquel cas, ils ne se seraient certainement pas attaqués à moi. Néanmoins, alors que j'étais censé réfléchir à la situation, je ne pu m'empêcher d'attiser la curiosité de la jeune femme présente auprès de moi, sachant parfaitement qu'une fois sa curiosité piquée à vif, impossible qu'elle pense à autre chose, elle voudra ABSOLUMENT savoir ce que je lui ai préparée... et c'était totalement l'effet désiré ! J'aimais la faire tournée en bourrique de cette façon tout comme elle aimait le faire me concernant, donc au final, ce n'était qu'un juste retour des choses. Néanmoins, elle semblait croire qu'elle était en mesure de me faire cracher le morceau ce qui était mal me connaitre. J'étais capable de garder quelque chose de secret et ce même sous les pires tortures. Mais j'étais bien décidé à jouer à son petit jeu, lui offrant un sourire charmeur en la voyant m'observer ainsi. « SEAN REID » Ah oui ? Tu ne ferais que perdre ton temps, j'ai une détermination à toutes épreuves. Difficile à croire que nous nous trouvions actuellement dans une situation plus ou moins dangereux vu le détachement que nous éprouvons envers toute cette histoire. Mais ce qui était encore plus dur à réaliser, c'était sans doute le fait qu'il y a de cela quelques temps encore, je considérais Hanna comme une indésirable, une personne que je ne voulais absolument plus voir, voulant la chasser définitivement de ma vie d'un revers de la main pour aller enfin de l'avant. Sauf que pour la première fois de ma vie, j'avais cédé, j'avais mis mon égo de côté pour prendre la décision la plus censée dans toute cette histoire et voilà où nous en étions désormais... à un rendez-vous qui se passait actuellement dans un cabanon, poursuivit par cinq dealers prêt à tout pour me faire la peau... nous sommes vraiment deux personnes atypiques et c'est sans doute cela qui m'attire chez elle, le fait que nous soyons à la fois différent et semblable. Alors que le calme semble régner dans cette pièce des plus étroites, Hanna ne peut s'empêcher de me balancer une petite pique qui m'arrachais un léger rire. Décidé à jouer sur le même terrain qu'elle, je répliquais donc instantanément.« SEAN REID » En effet, c'est pour cette raison que tu vas nous faire une démonstration de tes talents en combat. Je suis sûr que tu peux y arriver... s'ils se brisent les jambes en chemin. Ce petit jeu aurait pu durer longtemps si seulement les principaux intéressés ne venaient pas de nous repérer, comprenant rapidement où nous étions à cause de l'absence de cadenas. L'expression de mon visage changea soudainement, mes traits qui étaient presque doux lorsque je m'adressait à la brune venaient de se durcir d'un seul coup, en disant long sur mes intentions à présent. Des coups s'abattent sur la porte ainsi que sur les murs derrière nous... parfait... tandis que j'élabore un semblant de stratégie, je distingues Hanna s’emparant d'un râteau pour... se défendre ? Ce n'est pas vraiment la meilleure des armes, mais soit. Alors qu'elle se trouve devant moi, je lui fait signe d'aller se plaquer au fond du cabanon tandis que je m'approche de la porte, posant mes mains sur le cadenas. Je lui lance un regard pour lui faire comprendre de me faire confiance et surtout, de ne pas bouger pour qu'il ne lui arrive bien et finalement, je retire le cadenas. Reculant rapidement, la porte s'ouvrent sur deux dealers qui sont prêt à entrer dans le cabanon, mais à ce moment là, je m'empare de la tondeuse que je pousse de toutes mes forces sur eux, fauchant leurs jambes et les faisant tomber au sol. Très vite, je sort du cabanon et mets un coup de pied dans la tête de l'un, me retournant ensuite rapidement pour mettre une bonne droite dans la tempe de l'autre qui tentait de se remettre sur pied. Ensuite, je n'eut pas vraiment le temps de réagir, l'un d'entre eux m'attrapant dans le dos, m’immobilisant les bras tandis qu'un autre arrivais face à moi, me frappant fortement dans l'abdomen à plusieurs reprises. Mais alors qu'il s'apprêtait à me porter un uppercut, je réussi à lui mettre un coup de pied dans l'abdomen, mettant ensuite un coup de tête à l'homme me tenant pour me libérer enfin. A ce moment-là, je m'avançais vers le dealer face à moi, toujours plié de douleur pour lui placer un violent coup de genoux dans le nez qui suffit à l'envoyer au sol. Et alors que je fis volte-face pour en finir une bonne fois pour toute, j’eus la désagréable surprise de me retrouver nez à nez avec un flingue qu'avait dégainer le seul qui n'était pas au sol, en train de faire une petite sieste imprévue.« SEAN REID » Qu'est-ce que tu attends ? Tires. Mais je te préviens déjà, si tu rates, je n'aurais aucune pitié. Le dealer semblait hésitait ce qui démontrait bien qu'il n'avait pas l'habitude de ce genre de chose, sans compter le fait que je n'avais absolument pas peur ce qui devait sans aucun doute le déconcentrer. Mais alors qu'il semblait avoir fait son choix, s'apprêtant à appuyé sur la détente, il s'écroula à mes pieds, me laissant face à... Hanna... qui l'avait assommé à l'aide de son râteau... sans la quitter des yeux, j'attrapais le pistolet au sol, enlevant le chargeur que je rangeais dans l'une de mes poches - histoire d'être sûr qu'il ne puisse pas s'en servir sur qui que ce soit- pour ensuite rejeter l'arme et m'adresser à ma ravissante sauveuse.« SEAN REID » Tu ne cesses de m'impressionner, tu le sais ça ? Jamais je n'aurais douté qu'un râteau puisse être aussi efficace. Par contre... ils n'étaient pas cinq à l'origine ? Car là, j'en compte quatre. Oh... s'il n'en restait qu'un seul, je ne devais même pas m’inquiéter, pouvant me rendre directement là où je voulais emmenez Hanna depuis le début afin de passer un rancard tout à fait normal... enfin... plus ou moins normal, nous connaissant. SEAN REID |
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| Sujet: Re: Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.] Mer 29 Avr - 21:38 | |
| .Time is running out Je souris, levant les yeux au ciel à sa remarque. Son sourire charmeur ne change rien à ma détermination également présente. Malgré les circonstances, il parvient à répondre avec brio à l’une des piques que je lui ai lancé. Comment oses-t-il se moquer de mes talents en combat ? Je suis certes armée d’un râteau, et je dois bien admettre qu’il y a plus adroit que moi… mais quand même ! Je lâche un rire amusé.
« S’ils se brisaient les jambes, tu aurais des adversaires à ta taille ! »
J’essaie de répliquer d’avantage, mais les coups assènent maintenant les parois avec beaucoup plus d’entrain. Même si je mets un point d’honneur à ne jamais céder à la panique, je dois avouer que je commence à réaliser. Il prend finalement une décision offensive, et m’intime de rester en arrière. Je le regarde faire, immobile, me demandant comment je pouvais me rendre utile. Le temps semble long, frôlant l’infini des pensées. Je me surprends à songer à investir dans des cours de self-défense. Je suis persuadée qu’ils me seront utiles, étant donné la facilité avec laquelle je m’attire des ennuis. Ce doit être un don… Certains peuvent chanter à la perfection, effectuer une danse aérienne comme s’ils ne touchaient jamais vraiment le sol, ou encore dessiner les traits d’un visage avec les souvenirs pour seul modèle. Moi, la seule chose que je suis capable d’attirer, c’est les emmerdes. D’un côté, j’aime le fait que cela rythme mes journées. J’aime l’imprévu. Je reprends ma respiration au moment où il ouvre la porte du cabanon. Deux dealers sont fauchés par la tondeuse que Sean vient de saisir – et il ose se moquer de mon râteau… Je me précipite à l’extérieur à sa suite, ne pouvant me résoudre à rester à l’écart. Ils s’étaient tous jetés sur lui. Alors que l’un de ceux qui avaient été balayés par la tondeuse se relève, je lui assène un violent coup de râteau en plein visage. Au même moment, le manche de mon arme improvisée s’abat dans l’épaule d’un des dealers, alors dévié dans sa course. J’ai à peine le temps de repousser un autre de nos antagonistes que je vois Sean se faire rouer de coups avant qu’il ne se relève. Tout s’accélère. J’évite un poing et m’apprête à le rejoindre. Je suis brutalement interrompue dans mon élan. Un flingue est braqué sur son front. Les secondes s’étirent, deviennent interminables. J’ai l’impression de ne pas avoir le temps de respirer. De ne pas essayer de le faire. J’ai besoin d’air. Mes poumons mettent trop de temps à demander de l’air. Le dealer est de dos, il hésite. L’adrénaline s’infiltre dans mes veines, emportée par le courant de la rage. Sans réfléchir d’avantage, je brandis le râteau au-dessus de ma tête et l’abat de toutes mes forces sur celle du dealer. Il s’effondre mollement sur le sol. Rapidement, tandis qu’il s’écroule, je décale l’arme du pied et plaque deux doigts sur son cou. Je ressens les pulsations de son poult ; il est en vie. Je me remets sur pied, poussant un soupir de soulagement. Finir ma vie en prison n’est pas exactement ce à quoi je rêve. Mon regard croise celui de Sean qui, sain et sauf, s’est emparée du pistolet. Aucun risque qu’on puisse le retourner contre nous – je n’ai que trop vu cette scène ridicule se dérouler dans les films, et généralement, mon personnage favori mourrait. Autant ne pas prendre de risques. Me remettant sur pied, je souris à sa remarque.
« Merci ! Tu apprendras qu’il ne faut jamais douter du pouvoir du râteau… »
Je plaisante, me remettant de mes émotions. Ce qu’il ajoute coupe pourtant mon enthousiasme. Même s’il n’en reste qu’un et que nous sommes deux, voire trois en comptant l’expérience de Sean dans le domaine comme quelqu’un de plus, je ne peux m’empêcher de m’inquiéter. Je ne laisse pourtant rien paraître, heureuse que l’on s’en soit sorti indemnes. Je prends une moue dubitative, observant les alentours.
« En effet… Il a dû s’enfuir, non ? Il n’a surement pas eu le cran de se mesurer à notre duo ! Bon, on y va ? Je suis toujours curieuse de savoir où tu veux aller ! »
De nouveau remplie d’énergie mais aussi de joie de vivre, je le rejoins en quelques pas. Je ne sais pas ce qu’il a prévu, et une partie de moi se retient de lui poser une avalanche de questions. Tout ce que j’espère, c’est que notre aura attractive d’ennuis s’atténuera suffisamment. Peu importe ce qu’il se passera, je sais que ce sera une soirée inoubliable. On ne peut pas nous en demander moins.
A quelques mètres de là, le cinquième dealer les observe. Il ne passera pas à l’offensive, pas alors qu’ils se méfient. C’est le plus jeune de son groupe, il ne peut se résoudre à obéir aux règles de sécurité pour échapper aux autorités. Il n’a aucune limite. Il a été humilié. Comment a-t ‘il put se laisser maîtriser alors que ses alliés étaient eux aussi sur le jeune homme ? Comment a-t ‘il put échouer en se battant contre une fille ? Sa revanche est sans appel. Il est prêt à tout pour montrer ce qu’il vaut. La vengeance est un plat qui se mange froid. Il attendra le bon moment.
- ;):
A la question "Est-ce qu'elle manigance quelque chose ?", je pense que tu as ta réponse...
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“In the cookies of life, sisters are the chocolate chips.”
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“If they ask her, tell 'em that we're just good friends.”
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| Sujet: Re: Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.] Mer 4 Nov - 5:52 | |
| Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.]Comme il fallait s'y attendre, Hanna ne se laissa pas faire et répliqua directement à la petite pique que je lui avais lancée concernant ses talents en combat. Bien entendu, je ne doutait pas du fait qu'elle pouvait amplement se débrouiller, mais... elle n'était certainement pas mon égale dans ce domaine... loin de là même ! Souriant à sa phrase, j'étais bien partis pour sur-enchérir si la situation ne s'était pas trouvée aussi critique. Notre petite bande "d'amis" était en train de s'acharner sur les parois qui allaient céder à un moment ou un autre. Mais il y avait une chose qu'ils n'avaient apparemment pas assimilé et que je leurs ferait entrer dans le crâne à renfort de grand coups de poings : ils s'en prennent à Sean Reid et personne, PERSONNE ne s'en sort indemne lorsque l'on s'en prend à Sean Reid ! Et la suite des évènements le prouva bien rapidement puisque tout les dealeurs se retrouvèrent à terre en un temps record ! Tsss... dire qu'ils s'étaient pourtant jeter à plusieurs contre moi et qu'ils n'avaient pour autant pas réussi à me clouer au sol définitivement... bien que je dois reconnaitre que sans l'aide précieuse de mon amie, je serais probablement six-pieds sous terre... enfin... ça, c'était seulement si cette personne ayant braqué le pistolet en ma direction avait effectivement le cran de me tirer dessus et là-dessus, j’émettais tout de même un doute important en vue de la réaction qu'il avait eu. Mais bon, ce moment n'avait pas la moindre importance pour moi, n'ayant absolument pas oublier le véritable objectif de cette soirée qui était de passer un rendez-vous "normal" en compagnie de cette brune avec qui j'avais tant d'années à rattraper suite à toute l'histoire qu'il y avait eu entre nous et qui avait presque failli nous séparer à tout jamais... même si mon égo persistait à dire que ce n'était pas entièrement de ma faute et que j'avais réagis de façon légitime à ce moment-là, mais bref ! Sa plaisanterie m'arracha un sourire, encore un autre, à croire qu'il s'agissait d'une distribution aujourd'hui ou bien d'une promotion : pour un sourire arraché, le deuxième est offert ! Prenant subitement un air séducteur, je penchais la tête, plongeant mon regard dans celui d'Hanna pour lui répondre d'une voix suave.« SEAN REID » Le pouvoir du râteau ? Je ne connais pas, je suis un homme qui a du succès. Oui, je n'avais pas pu m'empêcher de jouer sur le sens de sa phrase, ce qui nous faisait en quelque sorte revenir au thème de la soirée, quelque part... mais ce fut rapidement interrompu lorsque je me rendis compte qu'un dealer manquait à l'appel... où était-il passé celui là ? Et comment avait-il réussi à échapper à notre vigilance ? Bien qu'il ne soit pas réellement une menace et que de toutes façon, les chances qu'il agisse étaient proches de zéro en vue de la raclée monumentale qu'avaient prit ses amis, cela me dérangeait un peu de ne pas voir son corps inconscient à coté des autres... enfin... je réglerais le problème tout seul comme un grand le jour où je le recroiserais et ce jour-là, il ne sera certainement pas très beau à voir ! Mon amie plaisanta d'ailleurs à ce sujet en suggérant qu'il n'avait pas le cran de se mesurer à nous ce qui était assez vrai, qui serais assez fou pour venir nous attaquer ? Bon, visiblement quatre mecs un peu trop stupides qui se trouvent à nos pieds... mais mis à part eux, qui donc ? Personnes ! Et je les comprenais, si j'étais une autre personne, je n'aimerais pas trop me retrouver impliqué dans une altercation physique avec moi. Mais encore une fois, ce n'était pas le plus important étant donné que j'en connaissais une qui avait apparemment très hâte de savoir où je comptais l’emmener, ce qui me fit plaisir, en vue de la surprise que je lui préparais !« SEAN REID » Si mademoiselle veut bien me suivre ! Ouvrant le pas, il ne fallu pas bien longtemps à Hanna pour me rejoindre afin d'entamer une marche plutôt tranquille qui n'était pas pour me déplaire, jugeant que nous avions eu notre dose d'action pour la soirée avec la rencontre imprévue du quintet de tocards vendant de "l'herbe magique" aux premiers crétins venu... quand je n'étais pas dans les parages du moins, puisque j'étais du genre à écraser toute concurrence... parfois littéralement, comme ça avait été le cas ce soir ! Alors que nous marchions depuis un petit instant déjà, je m'arrêtais nettement, tournant ma tête vers mon amie qui ne devait sans doute pas comprendre. A partir d'ici, je ne pouvais pas prendre le risque que la surprise soit dévoilée, c'est pourquoi...« SEAN REID » Il va falloir que je te caches les yeux dès maintenant. C'est soit ça, soit la surprise est grillée et tu sais très bien que je n'aimerais pas ça. L'échec n'était pas possible pour quelqu'un comme moi et même pour une simple surprise, je me devais de réussir tout jusqu'au bout. J'étais comme ça et Hanna le savait très bien, on ne pouvait rien y faire et surtout je ne voulais rien y faire, puisque c'était certainement grâce à ça que j'étais devenu l'homme d'exception que je suis à présent ! Cachant donc les yeux de la jeune femme, notre petit voyage se poursuivit sans qu'elle ne puisse y voir quoi que ce soit, ce qui devait être assez dérangeant, mais c'était comme ça et pas autrement ! Au bout de plusieurs minutes de marches, je fit face à un bâtiment que je ne connaissait que trop bien... tant bien que mal, je réussi à libérer l'une de mes mains tout en masquant les yeux de la brune avec l'autre qui était, fort heureusement, assez grande pour ça ! Ma main libre se faufila à l'intérieur de mes poches afin d'en sortir une clé que j'entrais à l'intérieur de la serrure pour la déverrouiller et aussi-tôt, je rangeais les clé tout en ouvrant la porte, pénétrant à l'intérieur du bâtiment et fermant la porte avec mon pied. Je m'avançais ensuite un peu, Hanna se trouvant toujours devant moi, incapable de voir quoi que ce soit et d'un seul coup, je lui permis de voir le lieu où nous nous trouvions... cet endroit qui n'était autre que la maison dans laquelle j'avais vécu durant tant d'années, avec mes père, habitation dans laquelle j'avais partagé tant de moments avec mon amie ici présente, c'était sans doute l'endroit le plus chargé en souvenir nous concernant. Je m'étais d'ailleurs donné la peine de la "recréer" exactement comme elle était à l'époque, ayant même récupérer quelques objets que mon père avait encore en sa possession chez lui. Avançant pour me mettre aux côtés d'Hanna, j'observais également le décor qui se dressait devant nous, sentant même une pointe de nostalgique en moi qui pourtant avait horreur de ça.« SEAN REID » Je me suis dis que ce serais plus original qu'un simple restaurant et que ça te plairait sans doute. J'ai vraiment l'impression d'avoir fait un voyage dans le temps en voyant tout ça en tout cas... par contre pour la cuisine, je te préviens, je m'y colle pas, j'ai fais venir un grand cuisiner renommé qui s'occupe de nos préparer de quoi manger ! C'était bien la première fois que je faisait quelque chose d'aussi... axé sur les sentiments ? Car c'est clairement ce que j'avais fais, privilégier quelque chose chargé d'histoire et qui jouait sur la fibre sentimentale plutôt que de faire un rendez-vous banal et même si, la nostalgie de coté, cela ne me faisait pas grand chose à moi, peut-être que ce serais différent pour Hanna. En tout cas, j'espérais grandement que tout ceci lui plairait et que l'on pourrait passer une bonne soirée, rien que tout les deux SEAN REID |
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Sean #1 & Olivier & Daniel & Mia & Marya & Taïla
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| Sujet: Re: Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.] Mer 20 Jan - 20:25 | |
| C’est peut être cette assurance. Peut être la façon qu’il a d’avoir confiance en lui et de ne jamais douter. Quoi qu’il puisse lui arriver, quelle que soit la situation dans laquelle il est immergé. C’est peut être ça qui m’impressionne toujours. L’essence même de son assurance, exprimée avec tant de naturel. J’ai toujours voulu montrer à quel point je ne doutais jamais de moi, peut être autant aux autres qu’à moi-même, finalement. Et chaque fois que mon assurance décline, je ne peux empêcher mon agressivité de prendre le relais. Ce n’est pas le cas de Sean, qui, quoi qu’il arrive, arrive toujours à tout retourner dans son intérêt. Comme… maintenant, par exemple. J’essaie de réprimer un sourire en levant allègrement les yeux au ciel, ce qui entre nous, n’a pas vraiment fonctionné. « Bien sûr, Sean. On ne peut pas en douter, vraiment pas. » Je lance sur un ton sarcastique, et un grand sourire sur les lèvres. Bien sûr, je mens, et bien sûr, je jubile à chaque occasion que j’ai de tacler son ego. Chacun son passe-temps favoris, et comme on dit, les goûts et les couleurs… Et puis… peu importe. Je réfléchis déjà à l’endroit où il va bien pouvoir m’amener. Je n’aime pas les surprises, excepté lorsque je les ai découvertes avant, ce qui implique qu’elles n’en demeurent pas une, finalement. Je n’aime pas ignorer quelque chose, que quelqu’un sache quelque chose que je ne peux deviner, particulièrement lorsque cela me concerne. Et ce, même si je lui fais confiance. J’ai confiance en lui. Plus qu’en n’importe qui. Ça semble probablement paradoxal, de prime abord, si on se fiait à sa façon de vivre, ou à notre relation d’il y a quelques mois, ou encore à ma nature. Mais nous n’en demeurons pas moins nous-mêmes des paradoxes, c’est peut être ce qui explique ce non-sens général qui plane au-dessus de nous, et qui rend nos vies aussi… héroïques ? Nous continuons à marcher, tandis que ma curiosité guide mon regard vers chaque élément autour de moi. J’avais beau analyser chaque chose sur mon passage, aucune idée ne surplombait les autres. J’avais complètement fait abstraction des précédents événements pour me concentrer sur cette tâche. Savoir. Deviner. Soudainement, Sean s’arrête, et je le regarde avec incrédulité. « Il va falloir que je te caches les yeux dès maintenant. C'est soit ça, soit la surprise est grillée et tu sais très bien que je n'aimerais pas ça. » Je grommelle et ne manque pas de lui lancer un regard incendiaire – auquel il est habitué – mais me laisse toutefois faire sans plus de débat. Chose qui est pour moi un effort incontestable. C’est bien parce que c’est lui, et bien par rapport aux circonstances. En temps normal, je n’aurais laissé personne me cacher les yeux. Il faut croire que même moi, je peux changer. J’avance comme si je n’étais pas aveugle, sans aucune hésitation, et ce n’est pas cause de n’avoir aucune appréhension. J’ai simplement hâte d’y être, hâte de savoir ce qu’il me cache. Je suis certaine qu’il me le cache depuis un certain temps, Sean Reid ne prend jamais le risque d’échouer, ni le risque de voir un déroulement d’actions contraire à sa volonté. Un instant, il s’arrête, et j’entends très distinctement une clef rentrer dans une serrure. D’un seul coup, le monde n’est plus sombre. Mon cœur rate un battement, mes poumons oublient comment exercer leur fonction. Devant moi s’étend une image chargée d’émotion. Chaque recoin de la maison m’évoque un souvenir refoulé. Chaque bibelot, étrangement à la même place qu’il l’avait été, chaque cadre. C’est comme un album photo, comme s’il me sautait au visage et me renvoyait toutes les photographies de mon enfance. Un sourire surexcité étire mes lèvres, et vient illuminer mon visage. Mes yeux brillent de stupéfaction. Il aurait pu m’embarquer sur un vaisseau spatial pour admirer quelques nébuleuses sur un fond de voie lactée, que ça ne m’aurait pas plus touchée que la beauté même d’un souvenir heureux. Un voyage dans le temps. C’est exactement ce que cela m’évoque. Et contre toute attente, c’est exactement ce dont j’avais besoin. Entendre que Sean avait fait venir un cuisinier me fit rire. Bien sûr qu’il n’aurait pas cuisiné, faut pas déconner ! Je me demande même s’il sait mieux cuisiner que lorsqu’on était au lycée. Non pas que je sois bien meilleure que lui, mais moi au moins, je n’ai jamais fait flamber des spaghettis… Chacun son talent ! « Wow, tu ne fais vraiment pas les choses à moitié… Merci beaucoup, Sean » Je lui souris une nouvelle fois avant de poser mon regard sur quelque chose qui attire mon attention. Je me hâte avec enjouement vers le bibelot qui trône sur l’étagère. C’est une boule à neige, d’apparence parfaitement anodine. En la prenant dans mes mains, je me rappelle de tellement de choses. C’était il y a quelques années, bien avant le lycée. C’était un Noël sans neige, sans batailles de boules de neige, sans crises de nerf parce que j’ai triché, ou parce que Sean a gagné en m’en envoyant une en plein visage. C’était juste un Noël pluvieux, et nous avions décidé d’explorer le grenier la maison de mes parents. Rien d’impressionnant, les capitaines pirates que nous étions n’avions pas trouvé le butin parfait. Jusqu’à ce bibelot. Celui qui apportait ce souffle hivernal dont nous manquions. Ça nous apparaissait comme un symbole. Tout comme la soirée qui nous attend. Peut être anodine d’un point de vue général, mais symbolique pour nous. |
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| Sujet: Re: Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.] Jeu 12 Mai - 5:28 | |
| Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.]J'avais déjà oublié tout ce qui s'était produit avec les petites frappes qui étaient désormais en train de piquer un petit somme au sol pour s'en être pris aux mauvaises personnes, me concentrant à nouveau totalement sur mon... amie ? Était-ce le terme à utiliser en ce moment ? Car autant dire que la relation que j'entretenais avec Hanna était assez... confuse ? Si je dois tout récapituler, nous étions donc passer de meilleurs amis à ennemis à amis à nouveaux tout en ayant un rendez-vous ce soir ce qui n'était pas vraiment quelque chose d'amical... c'était... compliqué. Je n'avais pas de meilleurs mots pour nous décrire à l'instant au final. J'oubliais bien vite ce petit conflit interne pour envoyer une petite réponse pleine d'assurance à la belle brune qui me répondit sur un ton sarcastique en affichant un large sourire aux lèvres.« SEAN REID » En tout cas, tu ne m'as jamais vu galérer avec les filles, donc, jusqu'à preuve du contraire, je suis le tombeur de ces dames. Cette précision avait pour seule but de gonfler un peu plus mon égo qui n'avait bien entendu pas besoin de ça pour être imposant... mais je n'allais quand même pas rater une occasion de venter mes mérites ! Après cette petite scène de ma part, Hanna et moi nous étions donc mis en route afin que je l'emmène où lieu où tout allait se passer, là où j'avais absolument tout prévu pour elle. D'habitude, je n'étais pas quelqu'un de romantique... ni même quelqu'un qui se souciait des autres en réalité, mis à part quelques rares personnes ayant réussi à s'attirer mes faveurs par je ne sais quels miracles, mais là, j'avais voulu faire les choses en grand, tout simplement parce qu'Hanna le méritait bien. C'est donc pour cette raison que je lui avais offert un véritable bond dans le temps, en reconstituant ce lieu charger de temps de souvenirs du passé, de nos souvenirs. Je n'étais pas du genre nostalgique, préférant me tourner vers le futur, mais là, j'avais jugé bon de faire ça en guise de "rappel", pour qu'elle se souvienne tout ce que nous avions vécus ensemble, toutes ces années passer aux côtés de l'autre et qui, finalement, suffisait à effacer le "petit malentendu" qu'il y avait eu entre nous.
Oui, j'étais totalement en train de diminuer l'impact de ma trahison, mais après tout... est-ce que cela importait réellement en ce moment ? Pas pour moi en tout cas et j'imagine qu'Hanna... n'avait certainement pas oublier, mais ça finirait bien par être le cas à un moment donner. Elle n'allait pas m'en vouloir toute sa vie pour ça, la preuve, elle m'avait accordée une autre chance et se trouvait avec moi en ce lieu, en ce moment précis.
La jeune femme me remercia, ne semblant même pas avoir les mots pour dire ce qu'elle ressentais en ce moment précis, se contentant de se balader dans la maison, attrapant un bibelot sur une étagère, un bibelot, une boule à neige. J'avais réussi à restituer à ce lieu tout son charme d'antan, ne négligeant aucuns détails et le simple fait de regarder un objet suffisait à me faire remontrer une tonne de souvenirs que j'avais en commun avec Hanna. M'approchant doucement d'elle, j'observais moi aussi l'objet qu'elle tenait en main par dessus son épaule, un sourire se dessinant sur mon visage sans que je ne m'en rende vraiment compte. Ma main alla elle aussi se poser sur le bibelot, entrant par la même occasion légèrement en contact avec celle d'Hanna.« SEAN REID » Je m'en souviens comme si c'était hier... j'étais en train de perdre espoir, pensant que nous ne trouverons absolument rien mis à part des trucs tellement anciens qu'on ne savait même pas à quoi tout cela servait, mais toi, têtue comme tu étais... et tu l'es toujours d'ailleurs, soit dit en passant... tu m'as fais comprendre qu'il ne fallait pas abandonner et qu'il fallait continuer à chercher. Et c'est là qu'on l'a trouver. Je n'avais pas toujours eu cette force mentale me poussant à ne jamais abandonner, c'était même le contraire parfois quand nous étions plus jeune et j'étais sûr et certain que j'avais obtenu cette force grâce à Hanna qui m'avait toujours pousser à aller jusqu'au bout des choses. Je lui devait tant de choses en réalité... mais je devais me reprendre, ce n'était pas le moment d'être sentimental. Secouant la tête légèrement, je lâchais finalement le bibelot, observant rapidement la maison pour bien m'assurer que je n'ai rien oublié avant de reporter mon attention sur Hanna.« SEAN REID » D'ailleurs, il faudrait se rendre dans le grenier après avoir dîner. Sait-on jamais... peut-être qu'il y a certaines choses là-bas... Mon petit sourire en coin et ces paroles suffisaient amplement à éveiller la curiosité de mon amie et là, je savais parfaitement qu'elle allait mourir d'envie de se rendre là-bas pour voir ce que j'avais bien pu préparer... mais pour ça, elle allait devoir attendre ! Et je ne lui donnais absolument pas le choix d'ailleurs. Lui faisant un signe pour lui faire comprendre de me suivre, nous nous rendions dans la salle à manger afin de nous installer l'un face à l'autre, sur les places que nous avions l'habitude de prendre quand nous étions petits... je nous visualisais encore, beaucoup plus jeune, en train de s'amuser à se faire des grimaces sans attirer l'attention des adultes, jusqu'à ce que l'un de nous deux se mette à rire... ce que nous pouvions être idiots à cet âge là !« SEAN REID » Le diner ne devrait pas tarder... du moins c'est dans l’intérêt du cuisiner. SEAN REID |
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| Sujet: Re: Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.] Jeu 2 Juin - 23:58 | |
| Mes yeux posés sur la boule à neige, je détaille les flocons flotter, tomber, voleter. J’imagine ce dont un instant à la montagne pourrait avoir l’air, je revois mes vacances avec mes parents, dans un chalet au milieu de nulle part. L’espace d’une seconde, je ressens la boule de neige sur ma joue, l’une de celles que Sean m’envoyait toujours, celle qui impliquait une revanche de ma part. Enfin, j’entends de nouveau nos éclats de rire enfantins, et mon âme de photographe meurt d’envie de remonter le temps pour capturer ces moments. Revenir à cette insouciance où nous étions libérés de toute décision importante, où nous étions aussi libres que les caribous autour de nous. Être libre comme un caribou, c’est mon concept. Ne dépendre de rien. Et puis, un jour, on devient adulte. La roue tourne, des choses m’arrivent. Je quitte ma famille, je me plais dans un appartement exigu, j’enchaîne les petits boulots, et j’espère devenir photographe. Je rencontre des personnes, elles partent, et parfois, d’autres reviennent. C’est à ce moment que je dois faire un choix, que je dois regarder devant moi. Je veux regarder plus loin. Je veux aller plus loin. Le souffle de Sean sur mon épaule me tire de mes rêveries, je me raidis légèrement. « Tu m’as fait comprendre qu’il ne fallait pas abandonner ». Ce sont peut être les paroles qui peuvent le plus compter pour moi. Savoir que je peux apporter quelque chose aux gens. Que je ne me résume pas qu’à mes conneries, que je suis bien plus qu’une fille qui a été égoïste sous prétexte de déprime. J’aime savoir que je ne suis pas que cette fille qui un jour a perdu pied, et a repoussé ceux qui comptaient le plus pour elle, qui n’a pas fait attention à eux avant de les voir partir. Maintenant, je ne sais pas ce que je veux, et je suis prête à parier que lui non plus. Mais le plus important, c’est qu’on n’en a rien à faire. Un sourire étire mes lèvres, et la tension descend en flèche au moment où il recule. Je lui fais face et, narquoise, hausse un sourcil. Qu’est-ce qu’il peut bien y avoir dans le grenier ? Instinctivement, je regarde autour de moi, trépignant d’impatience. Je n’aime pas les surprises. Alors pourquoi est-ce que je souris autant ? Je repose le bibelot et redirige toute mon attention sur ce démon qui, un sourire en coin, me nargue ouvertement.
« Si tu prévois de m’assassiner, je te conseille plutôt de le faire dans la cave. Au moins, tu n’aura pas à descendre mon cadavre, et tu éviterais de tâcher tes chaussures… Après, moi, ce que j’en dis… »
Je lève les yeux au ciel et hausse les épaules, innocente, avant de le suivre à table. Nous sommes assis aux mêmes places, et tout est à la fois si similaire et si différent que je suis troublée à un point inimaginable. Notre folie n’a d’égale que notre goût prononcé pour l’adrénaline. Les petites vies bien rangées, assis devant un bureau, un salaire fixe et une petite famille qui nous attend sagement à la maison, ce n’est pas vraiment notre quotidien. C’est d’ailleurs valable pour ce qui concerne les rencards, et pourtant nous voilà, le cœur encore palpitant de notre course poursuite du début de soirée. Et si une partie de moi redoute de devoir faire face sans avoir recours à l’alcool, l’autre ne peut s’empêcher de sourire. Pourquoi ? Parce que c’est quand même bien plus agréable, parce que ça fait partie de moi, parce que je suis heureuse, et que je n’ai besoin de rien. Et je ne comprendrai jamais ceux qui prétendent avoir une mauvaise vie à cause d’une rupture, ou parce qu’ils n’ont pas décroché d’augmentation. On peut supporter ça, parce que la vie, ce n’est pas que ça. C’est ce qui me pousse à sourire tous les jours.
Je lance un regard en biais à Sean, étudiant son attitude afin de deviner ce qu’il a prévu. J’ai beau savoir pertinemment que je ne parviendrai pas à deviner quoi que ce soit, j’essaie. Parce que c’est amusant, mais aussi parce que même lorsque nos plans sont parfaitement sûrs, une partie de nous ne peut s’empêcher de douter. Et le faire douter fait partie de mes passe-temps préférés. « Le diner ne devrait pas tarder... du moins c'est dans l’intérêt du cuisiner ». Je ris doucement, levant les yeux au ciel. Il est clair que pendant toutes ces années, j’ai appris une chose très importante de Reid : il ne faut jamais le faire attendre. Je mettais toujours un point d’honneur à arriver quelques minutes en retard, juste pour la forme, et parce que je savais que voir son air contrit me ferait rire. J’ai pas mal de défaut, parmi lesquels la maladresse ressort le plus souvent, mais aucun n’est volontaire. En revanche, la ponctualité est très souvent négligée (que faire d’autre lorsque mon grille-pain m’abandonne une fois encore, grillant mes précieuses tartines au passage ?).
« Ce serait dommage qu’il arrive à temps, alors, je suis convaincue qu’il aurait fait un bon saucisson » - Spoiler:
Je l'ai faaaait ! "Être libre comme un caribou", c'est casé !
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MEMBRE SUPER CLASSE
|métier| : Baron de la drogue | Voleur |statut civil| : Tant d'amour et si peu de Sean. |âge du perso| : 37
“Don't you know that killing is thrilling ? All the blood spilling, is all up on the drug dealing.”
“In the cookies of life, sisters are the chocolate chips.”
“Everything is strange, complex and complicated, but this are the features which make it incredible.”
“If they ask her, tell 'em that we're just good friends.”
“When your ex says : You’ll never find anyone like me. Just smile and reply : that’s the point.”
“Always two there are, no more, no less. A master and an apprentice.”
Hanna #2 | Marya #2 #3 | Stacy
|célébrité| : Stephen Amell |crédits| : Avatar : Moi - Signature : Beylin |pseudo/prénom| : Damien |dcs| : Aucun |nombre de messages| : 969
| Sujet: Re: Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.] Lun 20 Juin - 16:52 | |
| Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.]Est-ce que je savais que mon amie avait horreur des surprises ? Bien entendu, je la connaissait depuis que nous étions enfants et elle avait toujours détestées cela. Est-ce que j'avais fais exprès de lui dévoiler la suite de mon "plan" pour la faire trépignée d'impatience et jouer ainsi avec elle ? Absolument ! Ça avait toujours été comme ça entre nous après tout, on aimait chacun jouer avec les points faibles de l'autre, c'était notre façon de faire et nous n'étions pas prêt de changer les choses, nous n'en avions absolument pas envie d'ailleurs. Et en parlant d'envie... de quoi avais-je envie en ce moment ? Où en étions-nous avec Hanna ? De meilleure amie à unique personne pour qui j'éprouve des sentiments, d'unique personne pour qui j'éprouve des sentiments à ennemie, d'ennemie à amie, d'amie à... c'était bien là la question... qu'allait être l'évolution de notre relation en perpétuelle changement ? Si nous étions des gens parfaitement normaux, le plus logique aurait été de former un couple, sachant tout les deux qu'on éprouvait les mêmes sentiments l'un pour l'autre, mais nous n'étions définitivement pas ce que l'on pouvait qualifier de normaux. Alors dans ce cas, qu'étions-nous, encore une fois ? Et surtout, où allons-nous ? C'était peut-être la première fois que cette question me taraudait l'esprit, la première fois où je me demandait réellement quel allait être mon avenir, son avenir, potentiellement notre avenir... A ce moment précis, il me sembla ressentir quelque chose d'étrange en moi, quelque chose sur lequel je ne pouvais mettre du mot ni même décrire la sensation, ne sachant pas vraiment si c'était plaisant ou déplaisant. Et c'est alors que je me reculais afin de mettre un peu plus de distance entre la brune et ma personne. Pendant un instant, une fragment de secondes, j'avais eu l'impression de faiblir, moi, Sean Reid... non... ce n'était qu'une impression après tout, pas de quoi s'inquiéter, car jamais je ne suis inquiet, je suis au delà de ce genre de choses. Mon amie plaisanta ensuite après avoir appris qu'il fallait se rendre dans le grenier par la suite, endroit assez glauque lorsqu'on y pense, mais... pourquoi pas ? Un sourire m'échappa alors et m'approchant d'elle avec un sourire en coin, je lui glissais quelques mots presque prononcé dans un soupir.« SEAN REID » Mon plan a été percé à jour on dirait bien. Félicitation Inspecteur Lancaster Suite à cette petite plaisanterie, nous allons donc nous installer, prêt à dîner ensemble, l'un en face de l'autre dans une ambiance qui serais... presque romantique enfaite, ce qui ne nous ressemblais pas vraiment puisque nous n'étions pas de ce genre-là, mais en même temps... est-ce que nous étions du genre à avoir un rencard tout les deux ? Non plus et pourtant, c'était bien ce qui se produisait là. Même si, pour contrebalancer, c'était un rendez-vous à notre façon, quelque chose que les autres auraient pu considérer comme totalement raté avec ce que nous avions vécu avant d'arriver ici alors que pour nous, c'était parfaitement amusant. Oui, nous faire courser par des petites frappes et ensuite leurs régler leurs comptes était tout ce qu'il y avait de plus stimulant. Un psy me trouverait particulièrement intéressant à étudier, mais en même temps... qui ne serait pas intéresser par ma personne ? Très peu de mondes et généralement, ces gens là ont un adjectif bien spécifique : des idiots.
Et l'homme que j'avais engager pour nous servir le dîner semblait faire partie de cette catégorie là après tout, étant donné qu'il ne semblait pas être prêt à temps. Mes instructions avaient pourtant été parfaitement claires... comment osait-il être en retard en sachant que je l'avais menac... euh... payer ? Fort heureusement, des boissons se trouvaient devant nous et je ne me priais pas pour entamer mon verre qui contenait du vin. J'avais laisser à Hanna le choix, sachant que l'alcool ne lui réussissait pas particulièrement, elle pouvait donc opter pour de l'eau ou du vin également. Buvant donc une bonne gorgée de mon verre, une remarque de mon amie se fit entendre, à laquelle je répondis sans tarder.« SEAN REID » C'est une bonne piñata qu'il va faire s'il ne se dépêche pas. Comme si mes mots avaient déclenchés quelque chose, l'homme en question arriva soudainement d'un pas rapide m'observant avec un regard désolé pour ensuite saluer Hanna en affichant un sourire crispé, sachant parfaitement qu'il prenait d'énormes risques en se montrant aussi en retard. Même si je n'allais rien lui faire, mais bon... si je pouvais jouer sur la peur des gens, je n'allais pas dire non. Il m'annonça donc qu'il allait revenir avec ce qu'il fallait dans un instant et disparu à nouveau. Quelques secondes s'écoulèrent et un vacarme se fait alors entendre en direction de la cuisine. Mais que peut-il bien faire là-bas celui là ? L'homme en question apparait alors dans la salle et... ah... d'accord... je vois... un simple coup d’œil me fait alors comprendre ce qui vient de se produire... la personne qui se trouve à nous n'est pas le cuisinier... il s'agit du dealer de tout à l'heure, celui qui est parvenu à s'échapper, le plus jeune d'entre eux. Ce garçon a apparemment réussi à nous suivre jusqu'ici et s'est sans doute dit que frapper le cuisinier et prendre ses vêtements suffirait pour nous prendre par surprise... quel imbécile... où pensait-il être ? Dans un film ? Dans un jeu-vidéo ? Nous étions dans la vrai vie mon gars et dans la vrai vie, je suis celui qui domine... « Faux Cuisinier » Hum... monsieur Reid... pouvez-vous patienter un instant avec votre amie ? Les choses ne sont pas encore tout à fait prête. « SEAN REID » Pas de soucis, fais ce que tu dois faire, pendant ce temps... et si on allait dans le grenier Hanna ? Je fis en sorte de laisser passer mon amie en première, afin de m'assurer que l'autre ne tente rien de stupide et une fois fait, je m’éloignais alors, rejoignant Hanna devant les escaliers que je lui laissais monter, me plaçant derrière elle pour gravir les marches à sa suite tout en prononçant d'une voix parfaitement paisible, comme si cette situation totalement absurde était parfaitement normale, montrant que j'avais le contrôle de la situation« SEAN REID » T'as de la chance, tu vas avoir ta surprise avant ! Après on retournera là-bas, on va un peu jouer son jeu pour lui mettre la pression et on décidera qui aura l'honneur de s'en débarrasser, ça te va comme programme ? SEAN REID |
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Sean #1 & Olivier & Daniel & Mia & Marya & Taïla
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| Sujet: Re: Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.] Mer 22 Juin - 0:35 | |
| Surprenant. C’est le premier mot qui me vient à l’esprit lorsque je réfléchis quelques secondes à la situation actuelle. L’ambiance douce et chaleureuse, presque trop sentimentale, nous enveloppe d’un calme anodin. Et qui disait anodin pour nous, disait anormal. Paranormal, même. Je me mis à songer à ce que pourrait donner une séance de spiritisme faite par nous deux, mais il faut croire que mon imagination dépassait toute attente pour ce genre d’événement, puisque des images affolantes me vinrent. Qui sait, on pourrait bien discuter avec Belzébuth en « personne »… et il pourrait se lier d’amitié avec nous, avant de nous inviter à une soirée pizza/films dans les enfers. Non, quelque chose comme ça ne devrait jamais se produire, sous peine de fin du monde imminente. Il faut également croire que la faim me fait divaguer plus que de raison, et je remercie le silence des pensées de nous soutenir dans ces moments d’égarement. Sean me laisse alors un choix. Un choix cornélien. Eau ou vin ? Je me sens comme Dionysos, tiraillé entre son envie et la réalité. A priori, un verre de vin ne fait pas de mal. Mais ça, c’est a priori, parce qu’il n’y en a jamais qu’un… Oh, et puis merde, on a toute la vie pour boire de l’eau, non ? C’est alors que je me surprends à me servir de l’eau, croyant presque apercevoir ma raison tirer les ficelles, et me sourire l’air de dire « tu me remercieras plus tard ». Et c’est vrai, parce que j’ai l’alcool un peu trop joyeux, voire un peu trop tout. Je ne finis jamais dans un était approprié, et ça ne me dérangeait jamais, avant d’avoir des « responsabilités ». Qui a inventé ça, encore ? L’image d’un cuisinier suspendu au plafond et faisant office de piñata me fait sourire. Son air faussement détaché lorsqu’il parle de torture me fait sourire, et pour moi, c’est parfaitement normal. Je n’ai jamais réussi à le voir comme quelqu’un de véritablement potentiellement dangereux, à son plus grand désarroi. En fait, il se décrédibilise seul en jouant parfois les chevaliers servants, même s’il y trouve un intérêt personnel dans la majorité des cas. Non, je pense que je cherche des explications partout où je serais susceptible d’en trouver, parce que mine de rien, on a toujours besoin de réponses à nos questions, même si celles-ci demeurent sous silence. Le cuisinier tant attendu fait soudainement irruption dans la pièce et me salue, gêné. Je ne sais pas s’il est réellement apeuré à cause de Sean, mais cette simple idée me fait sourire tandis que j’appuie ma joue sur ma main.
« Tu ne peux pas t’empêcher de jouer les gros durs avec ceux que tu embauches, mh ? » , lancé-je amusée de la petite scène qui venait de se dérouler sous nos yeux.
La loi du plus fort est-elle toujours la meilleure ? Je pense que non, mais elle est de loin la plus efficace, et quelqu’un désirant vraiment imposer ses convictions a souvent raison. Je me demandais tranquillement ce que Sean avait bien pu lui faire croire pour être aussi paniqué à l’idée d’avoir du retard, lorsqu’on entendit un bruit sourd provenant de la musique. Je lève précipitamment la tête et fixe du regard la source du chahut. Alors quoi, le poulet s’est réveillé ? Je fronce les sourcils au moment où le cuisinier « revient », avant de m’empresser de prendre un air détaché. Et je comprends – sans aucune surprise – que Sean pense la même chose que moi lorsqu’il me propose de monter dans le grenier. Je ne peux imaginer que le dealer ait pensé une seule seconde que son plan marcherait. Nous ne sommes pas nés de la dernière pluie, et ce genre de situation est loin d’être exceptionnelle. Au contraire, je ne prends pas cet apprenti malfrat au sérieux, et me retient difficilement de lui rire au nez. Il n’a pas même pris la peine de remettre son tablier à l’endroit, et a tout l’air de ne pas exactement savoir comment mener son plan à bien. Débutant. Incompétent. Lorsque ses associés auront repris connaissance et se rendront compte non seulement qu’un râteau a eu raison d’eux, mais qu’en plus leur petit jeunot s’est fourré dans une galère risquant de ternir leur nom, je ne donne pas cher de sa peau. C’est comme ça que ça marche, dans ce milieu-là : soit tu assures, soit tu sutures.
Alors je souris au faux cuisinier et me lève, me dirigeant vers le grenier. Je ne peux pas enlever ce grand sourire de mon visage, sourire partagé entre la moquerie pure et dure, et la satisfaction d’obtenir ma surprise avant que ça ne soit prévu. Je me place ainsi à côté de la porte et le regarde, amusée.
« De la chance ? J’appelle plutôt ça du talent ! J’ai réussi à avoir ma surprise plus tôt que prévu, grâce à ma toute puissance ! Et même si je ne suis pas vraiment à l’origine de ça, on va prétendre que oui, parce que je l’ai décidé»
J’aime beaucoup parodier son égo, c’est divertissant ! Alors je le regarde ouvrir la porte, et je ne peux empêcher mon enthousiasme prendre le dessus en entendant « on va un peu jouer son jeu pour lui mettre la pression et on décidera qui aura l'honneur de s'en débarrasser». Un peu que ça me va, comme programme ! L’idée seule de marcher dans le plan du jeunot pour mieux le tromper est pleinement captivante. Mais ajoutons à cela la jouissance extrême de renvoyer un tel abruti pleurer dans les jupons de sa mère, et on a en perspective la meilleure soirée envisageable. J’essaie de faire les yeux doux à Sean, sachant pertinemment que ça ne fonctionnera pas, et minaude en le suppliant du regard :
« Et il s’en souviendra toute sa vie, hein ?»
Oui, je suis cette fille à la recherche du spectaculaire, du sensationnel. Celle qui ne se satisfait que de moments éloignés de l’ordinaire, et qui troquerait n’importe quel accessoire inutile et hors de prix pour une bonne dose d’adrénaline. Que serait la vie sans adrénaline, sérieusement ? |
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| Sujet: Re: Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.] Sam 25 Juin - 16:51 | |
| Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.]Voir Hanna me provoquer de la sorte prouvait une fois de plus que je ne lui inspirais absolument aucune peur, comme si pour elle, le Sean Reid qu'elle voyait était différent de celui que les autres pouvaient voir. Comme quoi, le fait de m'avoir connu bien avant que je ne deviennes l'homme que je suis à présent jouait dans la balance... il y avait aussi le fait qu'elle savait parfaitement qu'elle n'avait rien à craindre de moi, que jamais je ne la blesserais - ce qui n'avais pas toujours été vrai, d'ailleurs - et ce peut-importe ce qu'elle pouvait dire ou faire. Quelque part, j'aimais ça, le fait de savoir que je ne parvenais pas à soumettre tout le monde. Mon amie d'enfance était l'une des seules personnes qui osait me tenir tête et c'est quelque chose que j'avais toujours particulièrement apprécié chez elle. Mais autant je permettait cela à la brune, autant le cuisinier, lui, n'avait réellement pas intérêt à tenter de me tenir tête. Toute autre personne qu'Hanna se tirerait une balle dans le pied en tentant quoi que ce soit à mon encontre et ils le savaient. Fixant la femme se trouvant face à moi, je me contentais de hausser les épaules, mon visage n'affichant absolument aucune expression, pour lui dire sur un ton parfaitement détaché, habituel me concernant. « SEAN REID » Je ne joues pas les durs, je me contentes d'être moi, ça marche très bien. Un spectacle des plus lamentables eux ensuite lieu, si lamentable que je n'en cru pas mes yeux au premier abord... le dealer qui nous avait échapper tout à l'heure avait réussi à nous suivre et venait de s'en prendre au cuisinier pour prendre ses vêtements, se faisant passer pour lui pour sans doute tenter quelque chose. Amateur... tu bénéficiait pourtant de l'effet de surprise qui aurait pu t'aider à faire quelque chose de bien plus censé... je n'irais pas jusqu'à dire que cette vermine aurait pu m'avoir, mais ses chances étaient bien plus élevées qu'en ayant fait ce qu'il avait oser faire. Dire que ça osait prétendre jour dans la même cour que moi... j'étais largement supérieur à eux, en tout point et ça m'énervait de voir de tels personnes se lancer dans mon business. Je devais rapidement tout faire pour éliminer le semblant de concurrence que l'on me donnait, histoire de me hisser seul au sommet et d'avoir le contrôle entier de cette ville.
Car l'heure était venue pour moi de me débarrasser de tout le monde, d'enfin montrer mes véritables ambitions en devenant le roi de Quertal, ni plus ni moins. Je pourrirais la vie de tout ceux qui sont assez stupides pour acheter ma marchandise, m'enrichissant toujours plus sur leurs dos... mais le moment n'était pas venu de penser à mon futur, pas encore. Je devais me concentrer sur le moment présent passé en charmante compagnie. Et suite à cette interruption inattendue de la part du débutant, nous allions devoir sauter momentanément l'étape du dîner pour directement nous rendre dans le grenier. Je n'avais pas prévu ça... et j'ai horreur de ne pas prévoir les choses à l'avance... mais alors que nous arrivions au niveau de l'escalier, Hanna me fait oublier tout ceci en se lançant dans ce que je ressens comme étant une parodie de ma personne.
Encore une fois, personne ne se serait aventuré sur ce terrain à moins de vouloir finir au sol, les os brisés et en sang... au minimum... mais là, c'était quelque chose d'habituel entre nous. Je savais qu'elle adorait ça tout comme j'adorais me jouer de ses défauts. C'était donc de bonne guerre ! Levant les yeux au ciel, je lui réponds alors sur un ton faussement las.« SEAN REID » Le jour où tu seras toute puissance, c'est lorsque tu parviendras à être ponctuelle ma chère. C'est à dire aux environs de... jamais et absolument jamais ! Un point partout - seulement parce que je lui permettais - la balle était désormais au centre ! Et puis... elle me parodiait mal de toutes façon, je n'étais absolument pas comme ça. Alors que nous nous préparions à nous rendre dans le grenier, je me délectais déjà à l'idée de pouvoir m'en prendre à ce gamin qui aurait mieux fait de rester à sa place, me demandant ce que j'allais pouvoir faire lui faire subir comme supplice, Hanna se tourna vers moi, me faisant les yeux doux et minaudant. Pendant l'espace de quelques secondes, ceci me fit un effet... intriguant puisque je n'arrivais pas à placer de mot là-dessus. Je me sentais juste bien plus faible que d'habitude, plus vulnérable peut-être... comme si je... venais de me faire amadouer ? Non... non... puis non... hors de question que ce genre de chose fonctionne avec moi ! Je me repris rapidement, espérant que ce moment de faiblesse de ma part était passé inaperçu, car connaissant mon amie, si elle venait à se rendre compte qu'il y avait eu une brèche, aussi légère soit-elle, elle allait en profiter et ça, c'était tout bonnement hors de question ! Ayant parfaitement repris ma contenance, je lançais un sourire qui ne présageait rien de bon à mon amie d'enfance.« SEAN REID » Non seulement il s'en souviendra toute sa vie, mais il servira aussi d'exemple, pour montrer qu'ils ont décidés d'emmerder les mauvaises personnes. Elle savait parfaitement que je ne bluffais pas, que j'allais véritablement lui faire regretter son acte, peut-importe ce que j'allais devoir faire pour ça. Mais pour l'instant, l'heure n'était pas à ça, non... nous nous trouvions enfin à l'étage après avoir monté les escaliers et il me suffit de lever la tête pour apercevoir la fameuse trappe nous permettant d'avoir accès au grenier. Levant simplement le bras, je parvient à l'atteindre et à la tirer vers nous, faisant ainsi apparaitre l'escalier nous donnant accès à la prochaine partie de cette soirée plus qu'étrange. Dire qu'il m'avait suffit de lever le bras pour ça... lorsque nous étions enfants, la tâche était largement plus compliquée ! Je devais généralement prendre Hanna sur mes épaules pour que cette dernière se hisse tant bien que mal au niveau de la corde afin de la tirer et réussir à faire descendre ce fichu escaliers, sauf que parfois... ça pouvait prendre longtemps avant que nous nous y arrivions ! Je laissais donc Hanna grimper en première pour finalement la suivre, observant ce grenier qui était bien trop petit à mon goût à présent, où un léger filet de lumière s’infiltrait dans l'obscurité, nous laissant voir un minimum ce qui se trouvait aux alentours. De nombreux objets se trouvaient là, comme lorsque nous étions enfants et c'était là tout le but d'ailleurs... fouiller partout afin qu'elle trouve sa surprise, tout en trouvant des choses du passés pouvant nous rappeler des choses. Effectuant quelques pas pour la rejoindre, mon pied manqua d'écraser une décoration de Noël qui trainait par là, une petite fée. Je pris la décoration pour la mettre ailleurs et arrivant enfin derrière mon amie, je posais ma main sur son épaule tout en arborant un sourire en coin.« SEAN REID » Si tu désires ta surprise, tu vas devoir faire comme avant... fouiller dans ce qui se trouve ici pour la trouver. Tu penses être assez douée pour ça ? SEAN REID |
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Sean #1 & Olivier & Daniel & Mia & Marya & Taïla
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| Sujet: Re: Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.] Dim 26 Juin - 19:23 | |
| Un sourire amusé se dessine sur mon visage lorsque Sean réplique qu’il ne joue pas les durs mais se contente d’être lui. Il n’a pas tort, bien sûr, et j’en suis parfaitement consciente, même si j’aime prétendre le contraire. Je sais qu’un homme au sommet d’un tel réseau ne peut qu’être redouté s’il veut garder sa place. D’ailleurs, je ne sais pas exactement ce qui rend généralement un Homme invincible. Serait-ce quelqu’un de calculateur qui ne laisse rien au hasard, ou quelqu’un qui est capable d’aviser quelques soient les circonstances ? Peut être serait-ce un parfait mélange, qui serait le plus efficace ? S’attacher à certaines personnes, qu’elles fassent partie de notre famille ou qu’elles soient simplement nos amies, est-ce une faiblesse, ou est-ce notre plus grande force ? A vrai dire, je suppose que ça dépend de l’adversaire. Être un caméléon, dénicher les faiblesses des autres, n’est-ce pas avoir une longueur d’avance ? Je me pose ces questions tandis que l’on gravit les marches de l’escalier, pour une raison qui ne me permet pas de dissimuler mon enthousiasme. S’il y a bien une chose que je déteste par-dessus tout, c’est qu’on se paye ma tête. Et lorsque j’ai la possibilité de me venger, qui plus est en m’amusant, je ne la laisse pas filer.
Comme je m’y attendais, mon ami me parodie à son tour. Touché ! J’ai beau chercher dans mes souvenirs une fois où je serais effectivement arrivée à l’heure, rien ne me vient. C’est le noir total. Le vide. J’essaie plus ou moins de réprimer un rire mais n’y parviens pas. Il faut dire qu’il n’a vraiment pas tord. Il a même plutôt raison, même si je ne l’admettrai pas. Je le fusille du regard, mais n’ai pas une once de crédibilité, puisque je suis toujours en train de sourire. On a vu mieux, comme moyen d’intimidation ! J’ai surtout l’air d’un chaton essayant d’effrayer un lion. Non pas que je lui laisse avoir cette supériorité sur moi, ce serait mal me connaître, mais je peux admettre que là, tout de suite, c’est un petit peu le cas. Éventuellement.
« Non seulement il s'en souviendra toute sa vie, mais il servira aussi d'exemple, pour montrer qu'ils ont décidés d'emmerder les mauvaises personnes. ». Je ne sais pas ce qui me rend plus heureuse : de me sentir comme Bonnie avec Clyde, ou encore comme Mrs. Smith ; ou bien de l’avoir senti fléchir l’espace de quelques secondes. S’il pense pouvoir me cacher quoi que ce soit qui puisse se lire sur son visage, il se met le doigt dans l’œil. J’ai des années d’expérience. Et même après une si grande césure, certaines choses ne changent pas…. Comme ma ponctualité, par exemple. Nous parvenons au sommet de l’escalier et Sean attrape la corde permettant d’ouvrir la trappe, sans aucune difficulté. Si pendant notre enfance, nous devions user de nos forces et mettre en avant notre esprit d’équipe, aujourd’hui, ce n’est plus nécessaire. Enfin, pour lui. N’oublions pas qu’il fait bien une tête de plus que moi, et que même en sautant, je n’atteindrais pas cette corde. Je serais surtout bonne à me casser la figure, et à rester en PLS le temps que l’on veuille bien me rendre ma dignité.
Une fois en haut, je fais quelques pas en laissant une multitude de souvenirs refaire surface. J’ai passé des années à faire de mon mieux pour ne plus y penser, pour ne me focaliser que sur mon présent. Je n’ai jamais pensé à l’avenir, non plus. Je n’ai jamais fait partie de ces personnes dotées d’une réelle ambition. Petite, lorsqu’on me demandait ce que je voulais devenir, j’ai bien sûr eu ces réponses banales : princesse, chanteuse… Et parfois, j’avais des délires bien à moi : zèbre, criminelle, alien… Mais jamais rien de concret. Jamais rien qui me correspondait. Aujourd’hui, ces réponses sont lointaines et dépourvues de sens. Aujourd’hui, je suis heureuse comme je suis : libre.
La pièce est peu éclairée, mais l’on pourrait voir mon sourire grandir de seconde en seconde, depuis l’autre bout du monde. Sa main se posant sur mon épaule me tire de mes rêveries.
« Si je suis assez douée pour fouiller ? Bien sûr que je le suis ! Seriez-vous en train de me sous-estimer, Mr. Reid ? »
J’ai un petit sourire en coin, et mon éternel air provocateur. Je suis sûre que je serais même douée pour les cambriolages. Enfin, si je ne m’entrave pas dans le tapis, comme ça a été le cas lors d’une de mes visites dans une maison hantée, alors que je tentais d’être discrète. Mais ça, c’est une toute autre histoire, alors ça ne compte pas, pas vrai ? On va prétendre que ça ne compte pas. Je m’avance jusqu’au centre de la petite pièce et observe la disposition de chaque objet autour de moi. J’aperçois quelques ballons, des raquettes de ping-pong estropiées, et même un vieux Monopoly. Et puisqu’il faut bien commencer quelque part, je m’agenouille devant un carton. J’en retire un vieil ours en peluche, un œil en moins, avec une cible dessinée dans le dos au marqueur indélébile. Je secoue doucement la tête, me demandant si notre cruauté avait été telle avec chacun des objets présents ici. Et j’ai bien peur de devoir admettre que ce serait le contraire qui m’étonnerait véritablement. Je pose le pauvre innocent à côté, et retire du carton deux grands pistolets à eau. Ça, c’était la raison numéro une de nos disputes. Quand deux personnes aussi compétitives que nous s’affrontent, il y en a toujours un des deux pour changer les règles au dernier moment, ou pour dire que l’autre a triché. Je lance un regard à Sean, amusée, avant de murmurer que j’étais la meilleure à ce jeu, juste parce que je sais qu’il pense la même chose à son sujet. Et parce que je sais pertinemment que j’ai gagné un grand nombre de parties, seulement grâce à mon côté fourbe. Bien sûr, il courrait plus vite que moi. Mais j’ai toujours été meilleure pour grimper aux arbres. Chose que je ne cesse pas de faire encore aujourd’hui pour prendre des clichés: si les gens savaient à quel point les choses sont magnifiques vues d’en haut !
«D’ailleurs, je ne mets pas une seule seconde mon talent en doute… mais je pense que je trouverais plus facilement si j’avais une idée de ce que je cherchais… ! » , je lance, mutine, en replaçant une mèche de cheveux derrière mon oreille.
Il faut dire que la patience ne figure pas nécessairement dans la liste de mes qualités… au contraire.
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| Sujet: Re: Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.] Jeu 30 Juin - 4:37 | |
| Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.]Les choses allaient devenir intéressantes... très intéressantes... un léger sourire se forma sur mes lèvres rien qu'en songeant à la suite des évènements qui se tiendraient ici, dans ce grenier chargé de souvenirs et légèrement éclairer, dans lequel je ne pouvais pas me permettre d'être parfaitement droit sous peine de percuter le plafond avec mon crâne. Car à partir de maintenant, tout allait se passer exactement comme je l'avais prévu... je savais parfaitement quelle phrase je me devais de prononcer, je savais exactement quels gestes effectuer pour montrer que j'étais maitre de la situation et ainsi m'approprier les règles du jeu que j'avais pourtant moi-même dévoilé en arrivant dans cette pièce. Mais pour l'instant, Hanna ne se doutait d'absolument rien, se contentant de me sourire en se ventant de ses talents d'archéologue de greniers tout en me demandant si je ne la sous-estimais pas. Ce à quoi je répondis par une moue dubitative tout en haussant les épaules, histoire de jouer un petit peu avec son égo qui, certes, était moins développer que le mien - qui n'était pas si développer que cela d'ailleurs, juste qu'il fallait avoir une certaine estime de soit dans la vie, estime à la hauteur de la personne que nous étions - mais qui était tout de même présent. Et puis... j'avais bien le droit de jouer sur ses platebandes, non ? Après cette scène, mon amie se mit donc à fouiller, attrapant quelques trucs par-ci et par-là pour finalement se tourner à nouveau vers moi pour me faire comprendre que l'idéal était de lui dire ce qu'elle devait chercher. Je fis alors mine de réfléchir tout en me rapprochant une nouvelle fois d'elle, penchant ma tête vers celle de la brune pour l'observer en conservant cet air que j'avais sur le visage pour finalement ouvrir légèrement la bouche, commençant à faire sortir un son de celle-ci en prenant mon temps... pour finalement dire doucement et avec un léger sourire en coin.« SEAN REID » Je te mets au défis de le trouver sans savoir ce que c'est. Surtout que tu te rendras rapidement compte que tu l'as trouver, lorsque tu l'auras sous la main. Je venais d'utiliser les mots magiques, avec ça, nul doute qu'elle n'insisterais pas pour savoir ce qu'elle devait chercher. Après tout, nous ne nous connaissions que trop bien, à un point où il nous était parfaitement possible de manipuler l'autre dans le sens que l'on désirais. Enfin... ça marchait avec Hanna en tout cas, car moi, personne ne pouvait m’emmener dans la direction qu'ils souhaitaient. Je n'étais absolument pas influençable ou manipulable, cela n'a jamais été le cas et ne sera jamais le cas, peut importe la personne qui s'y essayera ! Restant toujours aux côtés de la brune, je me mets alors à fouiller moi aussi dans les objets présents à nos côtés, mais je ne trouve absolument rien d'intéressants.
Enfin... rien d'intéressant du point de vue de cette soirée en tout cas. Car chaque objet avec lequel j'entre en contact me rappelle une parcelle de notre enfance commune, d'une période qui remonte à si loin que j'ai l'impression qu'une éternité nous sépare de cette époque. Celle où nous étions encore innocent - plus ou moins tout de même - et insouciant. Celle où notre relation était claire et nette, sans la moindre complications possible. Elle était ma meilleure amie, j'étais son meilleur ami et nous passions la plus part de notre temps ensemble, à rire aux éclats ou à se chamailler... pour ensuite rire aux éclats de toutes façon.
Et là, en cet instant, qu'étions-nous ? Cette question ne cessait de revenir depuis le début de cette soirée alors que je ne voulais pas véritablement y penser. Pourquoi à tout prix vouloir mettre un mot sur la relation que j'entretenais avec Hanna ? Elle n'en avait pas besoin, elle dépassait ce stade où une classification était nécessaire. Notre relation était unique, à notre image et nous convenait parfaitement pour l'instant, il ne fallait pas chercher plus loin. Alors que je reprends peu à peu mes esprits, fouillant toujours dans un tas d'objet présent à mes côtés, je lève lentement le regard en direction de mon amie... le moment est venu de dévoiler les vrai règles...« SEAN REID » Au fait... tu ne pensais tout de même pas que les règles de ce petit jeu étaient aussi simples ? Tu n'auras pas tout le temps que tu souhaites Hanna et quelque chose va te pousser à trouver rapidement la surprise... car je participes aussi à cette petite recherche ! Et la personne qui trouvera le fameux objet caché pourra ordonner ce qu'il désire au perdant... absolument ce qu'il désire... Il aurait peut-être été plus juste que j'énonce toutes les règles dès le début au lieu de lui faire cette "surprise" maintenant, mais... ça se saurait si j'étais quelqu'un de juste, non ? En tout cas, j'avais tout intérêt de remporter ce petit jeu ! Car il était tout bonnement hors de question pour moi de faire ce qu'Hanna désirerait que je fasse si jamais elle l'emportait et puis... Sean Reid ne perdait jamais, peut importe les circonstances. La défaite n'était pas un mot de mon vocabulaire. C'est ainsi que la chasse commença, fouillant pour l'instant dans les objets qui se trouvaient auprès de nous histoire de ne pas trop s'éloigner - et de pouvoir chiper la surprise à l'autre si jamais il la trouvait en premier - sauf que je n'avais pas de chance pour l'instant... tout ce que je trouvait, c'était des jouets dans de piteux état, comme si quelqu'un avait prit un malin plaisir à les démembrer, à les torturer et à en juger l'état de certains, à les brûler... on se demandaient bien qui pouvaient bien être les responsables... « SEAN REID » Dis-moi... on était pas un peu sadiques étant petits ? Parce que vu l'état de certains objets... En vérité, cette question n'est pas bien importante, même si c'est une occasion de parler un petit peu de notre enfance. Mais il s'agissait là surtout d'une occasion pour moi de fouiller tout en déconcentrant un peu Hanna, je me devais de l'admettre ! Mais alors que je poursuivais dans ma chasse, un petit objet brillant attira mon attention... attrapant ce dernier pour le porter à mon visage, je me rends rapidement compte qu'il s'agit d'une... bague ? Assez jolie et qui semble valoir une petite fortune d'ailleurs... qu'est-ce qu'elle fait là ? De mémoire, je ne l'avais jamais vue et pourtant, ma mémoire était infaillible... Haussant les épaules, j'observe la brune dans le blanc des yeux afin de lui dire de façon totalement anodine, en lui tendant la bague...« SEAN REID » C'est pour toi si tu veux m'épouser, des fois où tu trouverais qu'Hanna Reid, ça sonne bien. Ce ne fut qu'après avoir prononcé cette phrase que je me rendis compte à quel point elle était... étrange ? C'était un euphémisme pour le coup ! Car même si cela se comprenait que je plaisantait - du moins, je pense que cela se comprenait - la façon dont j'avais sortis cette phrase, si naturellement, comme j'aurais pu dire n'importe quoi, rendait le tout bien plus étrange.SEAN REID |
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Sean #1 & Olivier & Daniel & Mia & Marya & Taïla
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| Sujet: Re: Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.] Jeu 14 Juil - 12:23 | |
| Le grenier est comme un nid regorgeant de mille et uns mystères. Petit à petit, je redécouvrais des parties de moi-même. Bien plus percutants que de simples photographies, ces objets me rappellent qui j’étais, et m’éclairaient sur qui je suis. Seulement, je me sens comme noyée sous un flot de souvenirs, et incapable de déceler ce que je dois chercher. Lorsque j’ai demandé à Sean s’il ne me sous-estimait pas, il a simplement eu cette attitude qu’il a parfois, celle qui met en doute mes aptitudes. Je lève les yeux au ciel, amusée, mettant ma fierté de côté. D’ailleurs, c’est quelque chose que je fais plus rarement que ce que l’on croit, puisque c’est ce qui me permet de tenir lorsque je suis sur le point de flancher. J’en tire mon assurance. Celle qui me permet de faire ce que je veux, quand je le veux, sans avoir jamais besoin de dépendre de quelqu’un. La vérité, c’est que ça ne marche pas à tous les coups, loin de là. On peut même dire que ça ne casse pas trois pattes à un canard, mais c’est suffisant pour une vie comme celle que je mène : irrégulière. Il se rapproche de moi, lentement. Mes yeux dévient sur son sourire, puis je me recentre sur ses yeux. Et à son attitude, je devine qu’il va user de la ruse, que le fait qu’il me connaisse aussi bien soit son arme : « Je te mets au défis de le trouver sans savoir ce que c’est. Surtout que tu te rendras rapidement compte que tu l’as trouvé, lorsque tu l’auras sous la main. ». Je plisse les yeux. « Je te mets au défi ». Il sait que nous vivons ainsi, de spontanéité, de désir de s’élever, et qu’un défi n’a de raison d’exister que pour être relevé.
« Défi accepté, comme toujours »
Je maintiens mon regard quelques secondes avant de le déporter sur d’autres objets.
« Mais tu sais que tu parles comme si tu n’avais pas la moindre idée de ce que je suis censée chercher ? », je lance, taquine.
Je tombe sur un cadre dans lequel est glissée une photographie. Elle a été prise en Angleterre, pendant nos vacances. Ayant toute ma famille là bas, mes parents insistaient toujours pour que nous y allions dès que possible, et Sean venait très souvent avec nous. Nous nous tenons donc devant le Buckingham Palace à Londres. Moi, j’essaie de monter sur le garde, et Sean essaie de lui voler son immense bonnet noir. Si on y regarde de plus près, on peut même voir l’homme esquisser un sourire, probablement devant le regard horrifié de mes parents. Je me souviens qu’on leur en faisait voir de toutes les couleurs, et nous étions loin (très loin) d’être aussi sages que ma petite sœur. C’est une belle photographie, bien sûr, mais je doute que ce soit ce que je cherche. Alors je repose le cadre et continue de chercher.
Enfin, il reprend la parole, et je le regarde avec incrédulité. « La personne qui trouvera le fameux objet caché pourra ordonner ce qu’il désire au perdant... absolument ce qu’il désire... ». Cette partie tourne en boucle dans ma tête. Il faut que je gagne. Parce que je sais que rien n’est délimité, que rien n’est clair, si ce n’est le fait que je déteste perdre. Non seulement je déteste perdre, mais en plus, j’ai trop d’orgueil pour accepter d’obéir à un ordre sans broncher ou sans me battre un minimum. Surtout venant de Sean. Question de principe. Je relève la tête, un grand sourire intéressé sur mes lèvres, et le regard devenu confiant. Je me demande ce qu’il a en tête. Et puis, il sait à quoi cette surprise ressemble, en plus de savoir qu’elle est là… ne sait-il donc pas où elle se trouve exactement ? Je vais me faire avoir… Forcément qu’il va la trouver avant ! Refusant d’abandonner pour autant, je parcours les objets présents autour de nous bien plus rapidement. Du coin de l’œil, je surveille ses trouvailles, et le vois s’activer. Il a vraiment envie de gagner, lui aussi. Comme toujours, bien sûr, et l’inverse m’aurait surprise. Je retrouve un collier de nouilles, coloriées aux pastels, que je repose avec un sourire. Dans le style « cadeaux pourris », je crois que j’étais championne du monde. Lorsque j’entends Sean me questionner sur notre cruauté, je regarde les objets qu’il tient dans ses mains. A la vue d’un chien en peluche à qui il manque une oreille, et à qui on semble avoir greffé une queue de cochon, j’étouffe un rire.
« Et ça t’étonne ? », je commence, avec un regard complice. « Je te rappelles la raclée qu’on a mise ce soir, et celle qu'on s'apprête à mettre ? »
Comme quoi, on évolue, mais on ne change jamais vraiment. Sinon, nous ne serions pas en train de nous enthousiasmer à l’idée de régler son compte à l’imbécile au rez-de-chaussée. Je pense que, petits, nous étions engagés dans la philosophie «Les plus belles choses sont faites pour être détruites». C’est aussi ce qu’on a fait plus tard, avec notre amitié. Mais nous ne sommes plus exactement les mêmes personnes. Nos vies ont prit un tout autre tournant, nous avons évolués, nous avons vécu d’autres choses. Parfois joyeuses, parfois pas. Et c’est ce qui fait ce que nous sommes aujourd’hui. Je n’apprends jamais de mes erreurs : il m’arrive encore de m’appuyer sur les plaques de cuisson, d’oublier que l’interrupteur de droite allume le couloir et non la cuisine, et que dire la vérité à certaines personnes peut mal tourner. Et pourtant, je le fais toujours. Mais je pense que j’ai enfin appris quelque chose d’important dans ma vie. Si j’ai la sensation de ne mériter que la solitude, alors je dois m’entourer encore plus. Bien plus important : je ne dois plus délaisser personne.
Je me rends compte qu’il a pris de l’avance sur moi et lui lance un regard noir. Quelques secondes après, il se retourne vers moi et me regarde dans le blanc des yeux. «C’est pour toi si tu veux m’épouser, des fois où tu trouverais qu’Hanna Reid, ça sonne bien. ». Je me fige, et rien ne sort. Sa plaisanterie est tournée d’une façon totalement... awkward. Mes yeux font des allez-retours entre la bague, magnifique au passage, et ses yeux. Aidez-moi à me sortir de là. J’en deviendrais presque religieuse. Cette simple idée est tellement improbable que je reprends mes esprits. Idée aussi improbable que Sean Reid demandant Hanna Lancaster en mariage. Nous en relation sérieuse, je demande à voir, mais nous mariés, c’est encore plus improbable… Remarque, le mot « improbable » perd tout son sens quand il est question de nous.
« Je ne pense pas que Sean Reid soit prêt à partager son nom » , je lance sur le même ton, mi-plaisantant, mi-naturel, en référence à son majestueux égo que j’aime tant taquiner.
Je souris doucement en posant ma main sur la sienne pour la lui fermer sur la bague, et la repousse délicatement. Oui, ça risque de blesser son égo, mais… pas vraiment, n’est-ce pas ? Ce n’était même pas une demande sérieuse, a priori, donc tout va bien. Je pense que nous sommes tout deux incohérents. Et ce, à un point que l’on ne peut oser imaginer. Tout en maudissant la petite pensée me susurrant qu’en effet, Hanna Reid ne sonne pas si mal que ça, je me focalise sur les objets devant moi. Tant bien que mal, d’ailleurs. Eh… mais il n’aurait quand même pas dit ça pour me déconcentrer et trouver le fameux objet-surprise, il n’aurait pas osé, hm ? Bien sûr qu’il aurait osé, mais étais-ce le cas ? Pour l’instant, je préférais penser que oui. Parce que c’est plus facile. Et parce que le déni, c’est mon crédo. |
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“Don't you know that killing is thrilling ? All the blood spilling, is all up on the drug dealing.”
“In the cookies of life, sisters are the chocolate chips.”
“Everything is strange, complex and complicated, but this are the features which make it incredible.”
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| Sujet: Re: Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.] Ven 5 Aoû - 18:30 | |
| Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.]Le sens de défi d'Hanna... je pouvais toujours compter là-dessus pour l'emmener dans la direction que je souhaitait ! Dès son plus jeune âge, elle avait développée une fâcheuse tendance à accepter tout les défis qui lui étaient lancer, ne reculant devant absolument rien et ça, je l'avais très rapidement compris et surtout appris à l'utiliser à mon avantage. J'étais exactement comme elle à l'époque, mais le fait d'être devenu ce que j'étais à présent m'avait rendu plus "sage" sur ce sujet-là étant donné que je ne pouvais pas me permettre de répondre à la première provocation qui venait puisque le milieu dans lequel j'évoluais était extrêmement dangereux et que la moindre erreur aurait pu être fatale. Mais maintenant que j'étais au sommet, je pouvais me le permettre un peu plus, car après tout, qui allait me stopper ? Les petites frappes que nous avions croiser tout à l'heure ? Celui qui se trouvait dans la cuisine actuellement, manigançant quelque chose contre nous pour venger ses amis ? Non... Quertal était à présent mien et la personne qui me délogerais de mon trône n'était pas prête d'être conçue. Et ce n'était que le début, j'avais bien d'autres plans à exécuter, une toute autre fortune et gloire à embrasser... mon image publique allait changer du tout au tout, mais ça... ça allait être une toute autre histoire... pour l'heure, je me contentais de me recentrer sur mon amie qui me provoqua légèrement, m'annonçant que je parlais comme quelqu'un qui ne savait absolument pas ce qui devait être trouvé, ce qui m'arracha un léger sourire.« SEAN REID » Tu penses vraiment que moi, j'aurais laisser quoi que ce soit au hasard ? Ce n'était absolument pas le genre de la maison, je DÉTESTAIT profondément le hasard. J'étais du genre à absolument tout planifier, tout programmer, réfléchir à deux fois à ce que je pouvais programmer pour être sûr que la situation soit intégralement mienne, moi qui aimait être le maitre en toute circonstance et qui l'était d'ailleurs puisque rien ne se passait jamais mal pour moi. Et si tel était le cas, j'arrivais toujours à rebondir tout simplement parce que rien n'est impossible pour moi. Pourquoi ? Parce que j'étais Sean Reid, c'est tout. Il n'y avait pas de meilleur argument que celui-ci. Mais la chasse était officiellement ouverte et je devais me hâter de retrouver l'objet avant Hanna puisque je venais d'annoncer que celui qui mettrait la main dessus se verrait offrir le privilège de demander absolument ce qu'il veut au perdant. Et il était donc hors de question de perdre... même si sans cet enjeu, il était tout de même hors de question de perdre, car la vie appartenait aux gagnants et j'en étais un, largement.
J'entamais donc ma recherche, partant avec l'avantage de savoir à quoi ressemblait cet objet ce qui ne faisaient qu'augmenter mes chances de l'emporter... mais qui avait précisé que j'allais être fairplay sur ce coup là après tout ? Pour moi, tout les coups étaient permis pour vaincre et je savais parfaitement qu'Hanna résonnait de la même façon, alors, à quoi bon être juste ? Mais pour l'heure, je ne trouve absolument pas l'objet en question, mais prend tout de même le temps de m'arrêter sur une peluche dans un état assez... particulier dirons nous.
Pauvre chien, qu'as-tu fais pour mériter de tomber entre les mains d'Hanna Lancaster et Sean Reid ? L'ennui nous avait sans doute été fatal ce soir là et l'un de nous s'était sans doute mis l'idée en tête de faire des expériences avec plusieurs peluches, pour greffer les bouts d'une sur une autre tout en arrachant quelques membres au passage... de véritables petits psychopathes ! Heureusement, nous n'avions jamais reproduits ce comportement sur des êtres humains, enfin... j'avais bien casser quelques membres à certaines personnes, fait saigner abondement d'autres, mais cela s'arrêtait là ! Jamais je ne m'étais mis en tête d'arracher l'oreille d'un pour la greffer sur le front de l'autre. Mon amie me rappelle alors que je ne devrais pas être étonné et qu'en plus de cela, notre comportement violent était toujours présent puisque nous nous apprêtions tout de même à mettre la raclée de sa vie à l'imbécile qui était en ces lieux.« SEAN REID » C'est pas de la violence, c'est de la légitime défense. Légitime défense quand bien même je n'étais pas véritablement en danger... que pouvaient-ils bien me faire ? Le plus grand risque avait été lorsque ce pistolet s'était retrouvé braqué sur mon front, mais je savais pertinemment qu'il n'aurait pas eu la force d'appuyer sur la détente et quand bien même, je serais parvenu à le désarmer avant qu'il ne comprenne quoi que ce soit. Et pour ce qui était de celui dans la cuisine... sans commentaires... je pouvais même me contenter de regarder, laissant Hanna l'attaquer seule, mais je ne me priverais pas de casser du tocard ! Me lançant à nouveau dans la recherche d'objets, c'est à ce moment précis que je tomba sur quelque chose de particulier et qui avait fait germer dans mon esprit une idée assez... particulière ? Non, le mot était faible tant tout ceci avait été improbable et bizarre... J'avais mis la main sur une magnifique bague et sur le ton de la plaisanterie, avait fait une demande à Hanna... sur le ton de la plaisanterie... en théorie du moins étant donné que rien dans ma voix ni dans mes gestes n'avaient annoncer cela, bien au contraire même. Alors que pourtant, je ne pensais pas un seul moment de ce que j'avais prononcer, je n'allais certainement pas demander mon amie en mariage tant ça semblait... improbable ? Non, c'était à un stade au dessus de l'improbable concernant ce sujet en vérité. Pourtant, son geste et sa phrase venait de provoquer quelque chose en moi, comme-ci... mon égo venait d'en prendre un coup alors qu'il n'y avait aucune raison à cela... bon, j'avais des sentiments pour Hanna, ça, j'avais fini par l'accepter au bout d'un moment, mais il ne fallait pas pousser le bouchon un peu trop loin tout de même. Déjà qu'il faudrait qu'une relation soit possible entre nous, n'en demandons pas trop, surtout lorsque ce stade était tout bonnement impossible pour l'un comme pour l'autre. Me contentant d'hausser les épaules en guise de réponse, je repartis à la chasse sans ajouter quoi que ce soit, plaçant la bague à l'intérieur de ma veste parce que... je l'ai trouvée donc j'ai le droit de la garder ? Même si concrètement, je ne m'en voyais aucune utilité.Néanmoins, j'arrêtais de penser à quoi que ce soit d'extérieur au moment où je me décida de lancer un regard en direction d'Hanna... de là où j'étais, je pouvais voir qu'elle était près de l'objet, je pouvais le voir dépasser... il s'agissait d'un appareil photo assez onéreux - du moins, j'imaginais puisque je n'en avais aucune idée à vrai dire, je m'étais contenté de ce qu'ils avaient dis à l'époque - qui était encore dans un état irréprochable, datant de quelques années avant la fin de notre amitié. Je m'en souviens comme si c'était hier : c'était le premier prix d'une compétition basée sur toutes sorte d'activité physique. Quel était le rapport entre un appareil photo et le fait d'être sportif ? Je n'en avais aucune idée, mais bon, ce n'était pas moi qui organisait ce genre de chose ! Hanna m'avait donc tout naturellement pousser à participer à cette compétition en jouant sur mon égo et mon désir de montrer au monde que j'étais plus fort que tout le monde et j'avais bien évidement réussi à l'emporter sans trop de mal... en gardant le premier prix pour moi pour lui apprendre qu'on ne me manipulait pas aussi facilement ! C'était donc plus l'histoire que l'objet en lui même qui était intéressant - pour moi du moins, car ce n'était pas moi qui faisait des études de photographie - sauf que là, elle n'allait pas tarder à mettre la main sur l'objet si ce n'était pas déjà fait... tentant le tout pour le tout, j'attrapais furtivement un pistolet à eau qu'elle avait trouvée tout à l'heure, m'assurant que le réservoir contenait encore quelque chose et sans tarder, je visais la tête de mon amie et appuya sur la gâchette pour l'arroser... maintenant, il n'y avait plus qu'à espérer qu'elle soit déconcentrée par ce que je venais de faire pour discrètement l'approcher et subtiliser l'appareil avant qu'elle ne le remarque ! SEAN REID |
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| Sujet: Re: Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.] Ven 19 Aoû - 0:54 | |
| « Tu penses vraiment que moi, j'aurais laissé quoi que ce soit au hasard ? ». Je souris. Je sais qu’il n’aurait jamais pris ce risque-là. C’est aussi en cela que nous sommes similairement différents. Nous aimons pouvoir tout contrôler, et être maîtres de nos décisions. L’énorme clivage réside dans le fait que Sean fait tout pour s’en assurer. Il prévoit toujours tout, et ça lui réussit. Moi, je laisse venir, je n’organise rien, j’avise. Ma vie est un éternel brouillon. De ceux qu’on froisse et qu’on jette dans une corbeille déjà pleine. Le pire, dans tout ça, c’est que je me sens bien de cette façon. Je déteste être sous la coupe de quelqu’un, mais n’anticipe jamais. Je n’anticipe pas leurs actions. Je réagis sur le moment. Spontanée, c’est mon deuxième prénom. Alors je souris à Sean, d’un air mutin.
« Je sais bien que tu es control-freak, mais j’ai encore le monopole de la moquerie ! »
Je lui tire la langue, enfantine. Je suis championne olympique dans les disciplines de moquerie et d’autodérision. Certains l’interprètent très mal, d’autres en rient. Inutile de préciser qui sont ceux qui ont raison. Je suis peut être parfois trop franche, trop directe, et je suis loin d’avoir ma langue dans ma poche. Mais je ne me lève pas le matin dans l’optique de critiquer les gens, ou de leur faire du mal. Enfin, sauf s’ils l’ont mérité, rien qu’un peu. Après tout, je n’ai jamais dit que j’étais un ange ! Et heureusement, puisque nous sommes joyeusement en train de planifier la façon dont nous allons nous en prendre à l’imbécile de la cuisine. Sean appelle cela de la « légitime défense ». Je ris, pensant qu’il s’agit de l’alibi parfait. Simple, mais efficace. Pourtant, dans les faits, cette appellation sous-entend que l’on soit en danger de mort. Je ne pense sincèrement pas que le moindre de nos cheveux risque grand-chose. Ce serait plutôt à cette pauvre victime orgueilleuse de plaider la légitime défense. Je donnerais ma main à couper qu’il est sûr de son coup. C’en est tristement drôle. Voire hilarant. J’ai bien envie de lui donner une médaille, avant qu’on ne le renvoi pleurer dans les jupons de ses alliés (qui risquent de le renvoyer à grands coups de pied dans le derrière rien qu’en apprenant son plan merdique). Hanna, reste tolérante. Maîtrise-toi, nom d’un chien !
Après l’évènement étrange et supposément humoristique qu’était la pseudo-demande en mariage, je me suis remise à chercher. C’était une plaisanterie, ça ne pourrait rien être d’autre, mais ça me trotte dans la tête. Et je n’y peux rien. Absolument, et intersidéralement rien. Après tout, j’ai bien plus l’occasion d’entendre mes amis me dire à quel point je suis irrécupérable et insupportable, plutôt que d’entendre des fausses demandes en mariage. Du coin de l’œil, je le vois glisser la bague dans sa veste. Je me demande alors combien il pense pouvoir en tirer sur e-bay. A moins qu’elle ne soit dans sa famille depuis longtemps ? Je ne l’avais jamais vue auparavant, et il faut dire que ce n’est pas ce genre de chose qui m’intéressait, enfant. Ce n’est pas comme si aujourd’hui, j’étais ouverte à toute proposition de mariage, de grande maison, et d’enfants. Loin de là ! Je n’ai pas passé cette étape, ignorant même si ce sera un jour le cas. Et je m’en fiche, parce que je ne prévois rien, pas même de simples désirs tels que ceux d’une famille. Je me donne une claque intérieurement, constatant que j’ai cessé de chercher. Nom d’un chien, Hanna, tu ne vas quand même pas le laisser gagner ! Il a un avantage. Enorme. Mais toi, tu as la rapidité. Je regarde autour de moi, me déplace un petit peu, et me focalise sur chaque petit détail autour de moi. « La personne qui trouvera le fameux objet caché pourra ordonner ce qu'il désire au perdant... absolument ce qu'il désire... ». Il ne m’en faut pas plus. Je suis repartie, comme si j’allais au front.
Soudainement, un jet d’eau s’écrase sur le côté de ma tête. Déstabilisée, je sursaute. Et il ne me faut qu’une seconde pour comprendre. Je connais trop bien Sean. Je sais qu’il n’attaque que dans quelques rares situations. Lorsqu’il a besoin de montrer à quel point il est fort, et lorsqu’il ne peut pas faire autrement. Une seconde pendant laquelle je me tourne vers le côté opposé de son tir. S’il a voulu attirer mon attention vers lui, c’est que l’objet en question est de l’autre côté. Et puis, je repère ma proie. Dépassant, cet appareil photo dispendieux m’évoque trop de souvenirs. Beaucoup trop pour n’être qu’un simple objet. Non, il s’agit bien de l’objet en question. Je me jette dessus et le saisis à deux mains. Je l’ai... Je l’ai ! Je n’y crois pas, et mon regard reste vissé à ce cadeau du ciel. Je m’appuie d’une main sur le parquet et me redresse. Un grand sourire triomphant sur mes lèvres, aucun doute, je rayonne de bonheur. J’ai gagné. Il a perdu. Je respire la joie.
« Mh… Qu’est-ce que tu disais, déjà ? Le gagnant pourra « ordonner ce qu'il désire au perdant... absolument ce qu'il désire... » ? » , Je lui demande, en reprenant le ton de sa voix.
Je ne suis pas sage ou tolérante. Ah, la tolérance, te revoilà… Décidemment, on ne va pas être copines. Je ne cache pas du tout ma joie de l’avoir explosé, malgré ses nombreuses tentatives de tricheries. Je lui fais face, jubilant, et le détaillant outrageusement. Rien que voir sa mine déconfite me satisfait, puisque je sais que dans la situation inverse, il se serait probablement autant pavané que moi… à sa façon. Je ne fais pas dans le discret. Aussitôt, mon regard s’assombrit, et je lui adresse un sourire carnassier.
« J’ai déjà ma petite idée. Crois-moi, tu vas tellement regretter de m’avoir aspergée avec cette eau putride… Tellement, tellement fort. »
L’odeur est immonde. Absolument infecte. Le pistolet à eau et la faible quantité d’eau (amen) n’ont pas permis au jet d’être très précis. L’eau s’est déversée de façon inégale, de mes cheveux à ma robe qui, de toute façon, était déjà poussiéreuse de notre course poursuite au parc. La situation me fait rire, et je me fous ouvertement de moi. Nous sommes tout ce qui est de plus improbable : Lui, dégustant sa défaite, et moi, n’essayant même pas d’essuyer l’eau putride qui m’a été jetée dessus. La moquerie et l’autodérision, disais-je.
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“Everything is strange, complex and complicated, but this are the features which make it incredible.”
“If they ask her, tell 'em that we're just good friends.”
“When your ex says : You’ll never find anyone like me. Just smile and reply : that’s the point.”
“Always two there are, no more, no less. A master and an apprentice.”
Hanna #2 | Marya #2 #3 | Stacy
|célébrité| : Stephen Amell |crédits| : Avatar : Moi - Signature : Beylin |pseudo/prénom| : Damien |dcs| : Aucun |nombre de messages| : 969
| Sujet: Re: Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.] Lun 12 Déc - 15:58 | |
| Qui a le don de s'attirer des ennuis au juste ? - [PV Hanna Lancaster.]Au moment où mon jet touche ma cible, je peut ressentir quelque chose d'extrêmement désagréable en moi, comme si ce que je venais de faire n'était pas la bonne chose, comme si j'avais laissé une inconnue à cette équation trop vite résolue. Mais qu'était-ce ? Je ne tarde pas à le comprendre lorsque je remarque que mon amie se tourne à l'opposée de mon tir : le fait qu'elle ne me connait que trop bien. Pendant un instant, un léger instant, j'ai totalement omis le fait qu'elle était malheureusement capable d'analyser chacune de mes actions et même de les anticiper par moment. Grave erreur ! Je tente de me dépêcher, progressant le plus vite possible en direction d'Hanna, mais il est bien trop tard à présent. Sa main se referme sur l'appareil photo ce qui ne signifie qu'une chose : elle a gagnée et SURTOUT, j'ai perdu. Et autant dire que la défaite n'est pas quelque chose que j'apprécie, peut importe le domaine et surtout quand une simple erreur suffit à tout changer. Une légère moue habille mon visage alors que je peux voir ce fameux sourire sur les lèvres de la brune, celui qui signifie "Je suis la meilleure !" et à la fois "Tu vas regretter ce défi..."
Sauf qu'il n'y a absolument pas à s'en faire concernant ce dernier point étant donné que je regrette déjà d'avoir organisé ce petit jeu pour la simple et bonne raison que j'en suis le grand perdant. La jeune femme me pose ensuite une question en reprenant mes dires prononcés tout à l'heure, allant même jusqu'à reprendre le ton de ma voix. Elle jubile totalement d'avoir remporter cette petite victoire sur moi, sachant qu'à présent, elle a le pouvoir de me demander absolument tout et n'importe quoi et mon côté joueur ne lui refuserait absolument pas ceci, mais... à l'origine, ça ne devait pas être elle, ça allait à l'encontre de ce que j'avais prévu ! Enfin, ce n'est pas parce que je viens de perdre là-dessus que le contrôle m'a totalement échapper et puis... je trouverais bien un moyen de me venger d'elle, d'une façon ou d'une autre... et en toute amitié bien entendu ! Un léger sourire se forme sur mes lèvres afin de masquer ma mine déconfite d'avoir perdu de la sorte, alors que je lui répond d'un ton assuré.« SEAN REID » J'ai bien dis ça, pourquoi ? Je suis censé être effrayé ? La carte de la provocation est désormais de sortie alors que je sais très bien que ce n'est jamais une excellente idée avec elle puisque ça ne fera que l'encourager à aller au bout de son idée, mais bon... qu'elle fasse ce qu'elle désire, au final, ce sera toujours Sean Reid qui gagne ! TOUJOURS ! Cette règle est une constante sans laquelle absolument rien n'irait et tout le monde serait perdu si je n'étais pas là à chaque fois pour que l'ordre des choses soit respecté. Mon amie tente à présent de m'inquiéter - du moins c'est ce que je pense - en appuyant bien sur le fait que je vais regretter de l'avoir aspergée avec cette eau qui ne devait pas être de première fraicheur et dont l'odeur doit sans doute dérangée la brune. Je me contente alors de plonger mon regard dans celui d'Hanna alors que ma main cherche quelque chose présent sur le sol, quelque chose sur lequel elle fini par se refermer. Lentement je fais donc venir à moi le fameux pistolet à eau, pointé en direction du sol pour montrer à la jeune femme que cette fois-ci, elle ne risque rien - en théorie. Et autant dire que je ne sais pas où c'est moi la théorie - alors que ma main libre se referme sur le réservoir pour le dévisser assez rapidement.
C'est alors que sans prévenir, je me verse le restant d'eau sur la tête, sentant le liquide se rependre un peu partout sur moi et surtout l'odeur qui, pour le coup, est bien fidèle à ce que je pouvais imaginer. Mais malgré tout, mon expression n'avait absolument pas changer, comme s'il n'y avait aucuns problèmes. Et j'imagine que dans notre petit monde à Hanna et moi, il n'y en avait effectivement pas, que ce genre d'acte était parfaitement normal après tout. Raison pour laquelle je me contente de hausser les épaules en arborant un air neutre et un ton détaché.
« SEAN REID » J'vois pas de soucis avec l'eau moi.
Mis à part son odeur, le fait qu'elle était sans doute là depuis des années et qu'elle ne devait pas être très saine, le fait qu'elle venait de s'insinuer jusqu'à des endroits assez insolites et surtout qu'il allait me falloir une bonne douche et des vêtements de rechanges, qui, par chance, étaient présents ici "au cas où"... non, je ne vois vraiment pas de problèmes ! Excepté que ma bonté me perdra d'avoir effectué ce geste pour revenir à un pied d'égalité avec Hanna qui, pour le coup, avait énormément de chance d'être... elle-même puisqu'il s'agit bien de la seule personne pour qui je ferait quelque chose d'aussi insensé. A se demander jusqu'où je pourrait aller pour elle... question que je devrais finalement éviter de me poser en sachant à quelle vitesse cela pouvait déraper sur un sujet et surtout quelque chose que je ne maitrisais pas et dont je ne mesurais pas vraiment l'importance tant ce genre de choses m'étaient finalement inconnues. Et pour être sûr et certain que je ne plonge pas dans ce genre de pensée, je décide de faire jouer de mon égo pour revenir sur la victoire de mon amie avec un petit sourire aux coins des lèvres.« SEAN REID » Par contre, tu te pavanes, tu te pavanes... Mais sans moi, tu n'aurais jamais su où se trouvait l'objet à trouver. Ce qui était purement vrai étant donné qu'elle avait redoublée d'attention au moment où je lui avais projeté ce jet d'eau qui avait sceller mon sort. Sans cela, jamais elle n'aurait eu la certitude que ce qu'elle devait chercher se trouvait en réalité auprès d'elle et j'aurais donc pu obtenir la victoire simplement en me dirigeant là où elle se trouvait pour subtiliser l'appareil devant ses yeux. Mais les choses ne s'étaient pas passer ainsi et maintenant, je devais attendre "l'ordre" d'Hanna que je devrais exécuter... et rien que le fait d'y penser me faisait amèrement regretter d'avoir organiser ceci. Mais bon, fort heureusement, dans mon malheur, je pouvais trouver un peu de bonheur. Bonheur qui se trouvait être dans la cuisine, personnifié en une personne très peu intelligente qui n'allait pas tardé à recevoir la raclée de sa vie. Savoir cela me mettait un peu de baume au cœur, prouvant une bonne fois pour toutes que non, je ne suis pas de ceux qui se définissent en tant que "personne normale", car si tel était le cas, je ne serais pas l'homme de génie que je suis et je me contenterais d'appartenir à la plèbe. C'est donc sur un air parfaitement naturel que je pose une question inhabituelle à mon amie.« SEAN REID » Partante pour aller briser les rotules de l'autre ? SEAN REID |
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