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 i could tell you were a different breed, from the way you looked at me | DELIJAH

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MessageSujet: i could tell you were a different breed, from the way you looked at me | DELIJAH   i could tell you were a different breed, from the way you looked at me | DELIJAH EmptyDim 28 Fév - 19:14

i could tell you were a different breed, from the way you looked at me.
Elijah Wahlberg & Dylan Roseburry
Putain de Wahlberg ! C’est quoi ce type ? Il lui ordonne un jour pour arriver chez lui, presque une heure aussi et il n’est même pas fichu d’être là pour l’accueillir. Sérieux, Dylan va le tuer ce petit con. D’abord, il se permet de venir le provoquer sur les réseaux sociaux, alors que clairement, le chanteur ne lui a rien fait et qu’il essaie de vivre sa vie d’artiste tranquillement, et maintenant, il se retrouve à l’aéroport de Berne tout seul. C’est sûr qu’il va lui faire regretter. Non mais il se prend pour qui ce petit ! Il a sûrement pris la grosse tête. Bah Dylan va lui faire dégonfler à coup de poings s’il doit le faire. « I already hate this country. » dit-il dans sa langue natale. Il déteste la Suisse et encore plus le fait d’être loin de sa famille. Il déteste également le fait que Elijah ait expressément demander à ce que leur collaboration se fasse chez lui, dans une petite bourgade de la Suisse dont il n’avait jamais entendu parler avant qu’il n’apprenne qu’il devait se rendre là-bas. Sept cent habitants de ce qu’il avait lu sur Wikipedia. C’était trop petit pour lui. En même temps, c’est sa faute. S’il avait été un peu moins curieux, il n’aurait pas proposé à son manager de voir avec celui de Elijah pour faire une collaboration et ainsi apprendre la raison de ses assauts sur les réseaux. C’est son plus grand défaut au fils Roseburry, il est trop curieux. Il veut toujours tout savoir et il se fait prendre à son propre jeu à chaque fois. Là encore, il n’avait pas résisté à l’envie de comprendre pourquoi le suisse agissait comme ça avec lui. Il se retrouve donc coincé pour le moment dans cet aéroport sans savoir où aller. Dylan appelle donc, furieux son manager, qui n’a pourtant rien fait et lui dit de se mettre en quête de l’adresse de ce morveux. Il a beau être patient, très patient même dans certaines situations, là, ça lui tape sur les nerfs alors qu’il n’a même pas encore vu la tête de Elijah aujourd’hui. Le bouclé se calme en inspirant et expirant une dizaine de fois. Ce n’est pas la peine de se comporter de la sorte, ça ne changera rien. Elijah n’est pas là pour lui montrer le chemin jusqu’à chez lui. Dylan se chargera de ça plus tard. Alors, qu’il imagine déjà comment il va se venger, son téléphone sonne et il décroche en aboyant contre son manager pour savoir ce qu’il lui a pris si longtemps. D’ordinaire, le chanteur n’est pas comme ça avec ceux qui travaillent pour lui, mais là, le simple fait de savoir qu’il va devoir partager une maison ainsi que sa vie avec Wahlberg le fait rager.

A cause de ça, il n’a pas bien dormi. Le jeune homme a passé sa nuit à se tourner, se retourner en essayant de trouver en vain le sommeil. Toute cette histoire le met dans un état pas possible et il déteste ça. Cependant, il veut savoir, il veut comprendre ce qui se trame dans l’esprit de Elijah pour qu’il puisse réagir de cette façon. Pas une seule fois, l’idée qu’il puisse essayer de se faire remarquer de lui… Mais ça a fonctionné puisque Dylan est là, parlant rapidement au téléphone pour avoir l’adresse du châtain. Une fois qu’il obtient l’information qu’il désirait, il raccroche et se précipite vers un taxi. « 125 Route des Oliviers, Quertal, s’il vous plait. » annonça-t-il dans un parfait français où on pouvait clairement entendre son accent anglais. Heureusement, c’était dans ce genre de moment qu’il remerciait sa curiosité. Sans ça, il n’aurait jamais pu parler français. Grâce à sa mère et à son amour de la musique française, il avait appris cette langue pour comprendre les paroles des superbes chansons qu’elle écoutait. Ainsi, il avait été capable de comprendre et d’apprécier la poésie de Gainsbourg, celle de Brel, de Piaf et de pleins d’autres. Ça avait été aussi le début de son amour pour la musique et la chanson. Il avait commencé à chanter à cette époque à peu près et n’avait jamais arrêté. Dylan est sorti de ses pensées par le chauffeur de taxi qui lui répond que ça fait un long trajet et qu’il risque de payer assez cher. D’un geste de la main, il balaie ses inquiétudes. Sans être une super star internationale, il est assez connu dans le milieu de la chanson et a de quoi payé une course de taxi. Rassuré par les paroles du bouclé, le chauffeur sort de sa voiture et met ses bagages dans le coffre avant de lui offrir le siège passager comme siège. Il s’y installe et passe le trajet à discuter avec le monsieur qui a l’amabilité de l’amener là où il veut. Il apprend donc pleins de choses sur sa vie qu’il aurait aimé ne pas savoir, parce que ça ne le regarde pas, mais il apprend aussi que sa fille le connait et est fan de lui. Ce genre de chose a toujours eu pour effet de le faire sourire. Même à l’autre bout du continent, on connait et aime sa musique. C’est le principal pour lui. Il n’a jamais commencé à faire ça pour l’argent ou pour la gloire. Il voulait simplement un avis extérieur et plus objectif que celui de sa sœur et de sa mère. Et il l’a eu. Ça l’a encouragé à faire plus de covers jusqu’à ce qu’on lui propose de faire ses propres chansons. Une opportunité que le jeune homme n’a pas pu refuser. Encore maintenant, il ne regrette pas d’avoir accepté.

Ils arrivent enfin à destination et Dylan sort de la voiture en étirant ses jambes. Il a des fourmis et cette sensation lui déplait particulièrement. Il a l’impression que ses jambes ne lui répondent plus et qu’il va tomber d’une seconde à l’autre. Alors, il les secoue pour enlever plus rapidement ce sentiment désagréable qui lui parcoure la chair et se rend à l’arrière de la voiture où il récupère ses deux valises. Il paie le chauffeur qu’il regarde partir ensuite, après lui avoir signé un autographe pour sa fille. Dylan est devant la maison de Elijah, enfin devant ce qui devrait être sa maison et il s’avance pour frapper quand son téléphone sonne. C’est sa mère qui l’appelle et un sourire enfantin apparait sur ses lèvres alors qu’il répond à la première femme de sa vie. Ça ne fait que quelques heures qu’ils sont séparés et pourtant ça parait être une éternité au jeune homme. Il a toujours été proche de sa mère et de sa grande sœur. Elles font parties intégrantes de sa vie et la vivre sans elles lui serait impossible. Il a survécu à l’absence de son père parce qu’il ne l’a jamais réellement connu. Alors que Aileen et leur mère, il les avait connues, avait vécu et grandi avec elles. Ce serait donc tout bonnement impossible pour lui de les perdre maintenant. Ils discutent ensemble pendant cinq minutes avant qu’elle ne raccroche pour aller travailler. Après un second au revoir, il range son téléphone et inspire longuement avant de se diriger vers la porte de Elijah. Dylan frappe dessus comme un forcené. Il ne veut pas le voir, mais il n’a pas non plus envie de rester dehors encore longtemps. Il continue de frapper jusqu’à ce que la porte s’ouvre sur un Wahlberg à moitié endormi. « Non mais t’es sérieux là ? Tu m’imposes le jour, presque l’heure de mon arrivée et t’es même pas fichu d’être là à l’aéroport. » Sans lui laisser le temps de lui répondre, le bouclé entre dans la maison. S’il a décidé de le faire chier, il va rencontrer un adversaire à sa taille… Il n’est pas né celui qui fera plier Dylan Roseburry.
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MessageSujet: Re: i could tell you were a different breed, from the way you looked at me | DELIJAH   i could tell you were a different breed, from the way you looked at me | DELIJAH EmptyLun 28 Mar - 17:04

i could tell you were a different breed, from the way you looked at me.
Elijah Wahlberg & Dylan Roseburry
Son téléphone ouvert sur l'application du réveil, Elijah en programme au moins trois différents pour être à peu près sûr de se réveiller à temps pour aller chercher Dylan à l'aéroport de Berne. Il aurait probablement dû s'abstenir de dormir complètement, ça aurait été plus simple pour être certain d'être à l'heure, le problème étant que Berne n'est pas tout prêt, et qu'avec la fatigue, le manque de sommeil, il ne préfère pas prendre de risque sur la route. C'est lui qui a imposé le jour d'arrivée au bouclé, pour leur collaboration, il n'avait pas prévu que ça tomberait un mauvais jour pour lui. « Allô maman. Oui, je suis bien rentré, ne t'en fais pas. Je vais quand même dormir un peu, sinon je ne serais pas capable de conduire l'aller et le retour de Berne, j'ai mis trois réveils, mais est-ce que tu pourras me téléphoner aussi, juste au cas où. Tu sais que j'ai le sommeil lourd. » Sa mère rit à l'autre bout du fil, il l'entend, et ça le fait sourire aussi. « Arrête de te moquer maman, promets-moi. » Une fois qu'elle lui a promis de lui téléphoner à l'heure convenue, il met bien cinq minutes à raccrocher. Elijah est très proche de toute sa famille, hormis son père qui vit aux États-Unis et qui au final, n'a pas tellement passé de temps avec lui, mais il est surtout extrêmement fusionnel avec sa mère, et chaque fois qu'il la au téléphone, même s'ils se sont vus peu de temps avant, il met toujours un temps fou à raccrocher, lui envoyant une tonne de bisous virtuels. Ca fait très niais dit comme ça, surtout pour lui qui se montre plutôt fort, indépendant, l'observer en compagnie de sa maman, on a juste l'impression qu'on a quelqu'un d'autre devant nous. La conversation enfin terminée, il se roule en boule sous la couette dans son lit et ne met pas plus de trente secondes à s'endormir, tellement il est exténué.

La nuit a été très longue pour lui et le reste de la famille. Sa grand-mère a fait un malaise dans la soirée, et sa soeur l'a appelé en catastrophe alors qu'il était en train de préparer la chambre d'ami pour recevoir Dylan le lendemain. Il a tout laissé en plan pour les rejoindre et emmener sa grand-mère à l'hôpital à Bienne. Évidemment que ce soit le châtain comme les autres membres de la famille présents, hors de question pour eux de partir sans avoir aucune information. Ils ont attendu un long moment, jusqu'à ce qu'un médecin vienne leur annoncer qu'elle a fait un léger malaise cardiaque, rien d'alarmant, qu'ils allaient quand même la garder en observation durant la nuit, par mesure de précaution, mais qu'elle pourrait rentrer dès le lendemain sans problème. Malheureusement, juste au moment où tout ce petit monde allait quitter l'établissement hospitalier, on est venu les rechercher, leur annonçant qu'elle venait tout juste de faire un AVC, panique à bord dans la famille. Tout le monde ne pouvant rester, Elijah s'est dévoué pour ramener chacun chez lui, et est revenu tenir compagnie à sa mère, qui elle, pouvait rester au chevet de sa propre mère. À deux, ils étaient autorisés à rester. Elijah n'a pas fermé l'oeil de la nuit, il ne voulait prendre aucun risque, et puis il tenait régulièrement au courant les autres membres de la famille. Les heures défilées, et il doit bien avouer, durant ces quelques heures, il a un peu oublié la venue du chanteur écossais chez lui, jusqu'à ce qu'il reçoive un message de son manager lui rappelant l'heure exacte d'arrivée de l'avion du bouclé. C'est là que le dilemme s'est imposé à lui, tenter la nuit blanche, ou aller dormir deux petites heures histoire d'être pas trop hors service pour conduire. Il opte finalement sur conseil de sa mère, qui n'a probablement pas envie de voir un second membre de sa famille finir à l'hôpital dans la journée, de se reposer un peu, tout en sachant qu'il a toujours énormément de mal pour se réveiller. Tant pis, il fera ce qu'il faut, mais c'est plus prudent de dormir un peu, et ça rassure sa mère, ce qui est une priorité pour lui.

Les trois réveils sonnent, l'un après l'autre, exactement à l'heure qu'il a décidé, mais Elijah ne bouge pas d'un poil. Profondément endormi, il n'entend absolument rien. Une bombe pourrait exploser à côté de lui que ça ne le réveillerait probablement pas plus. Sa mère lui téléphone aussi, comme elle l'avait promis, mais là non plus ça n'a aucun effet, ce qui n'est pas étonnant, puisqu'il a complètement zappé de basculer son portable à nouveau sur sonnerie en rentrant, comme il l'avait exceptionnellement mis sur silencieux tout le temps qu'il était à l'hôpital. Ce n'est que quelques heures plus tard qu'il émerge enfin, lorsqu'il entend frappé comme un forcené à la porte d'entrée. « C'est bon j'arrive. » Les cheveux en bataille, les yeux encore endormi et surtout vêtu que d'un caleçon, il ouvre la porte sur un Dylan Roseburry furax. * Et merde ! * Le musicien, bien qu'il se montre virulent sur les réseaux sociaux avec le chanteur, principalement pour attirer son attention, ce qui semble avoir au moins un peu fonctionné, puisqu'il est chez lui pour collaborer ensemble sur le prochain album du bouclé, Elijah n'avait à la base, aucune intention de lui faire faux bond à l'aéroport. Tant pis, il composera avec. « Mais vas-y, je t'en pris fais comme chez toi. » Il lui répond d'un ton sarcastique en le voyant entrer sans formalité, préférant ignorer totalement sa remarque sur son absence à l'aéroport, hors de question de lui dire pourquoi il n'était pas là, même si à son allure, il va bien se douter qu'il dormait et ne s'est juste pas réveillé. Ce qu'il n'a pas besoin de savoir, c'est la raison pour laquelle il dormait encore et a raté son réveil. « Ne fais pas cette tête, c'est pas un drame. T'es arrivé, c'est le principal, non ? » Bon ben finalement, il ne peut s'empêcher d'en rajouter une petite couche. Il doit déjà le détester, un peu plus ou un peu moins, ça change quoi ? Ce qu'il ne peut s'empêcher également, c'est de le fixer, il est tellement mieux en vrai que sur papier glacé, et puis, son accent écossais quand il parle français, c'est à se damner. Elijah secoue la tête, s'il commence déjà comme ça, alors que Dylan n'est pas là depuis cinq minutes, il est mal, très mal barré pour la suite des évènements. « Pose tes affaires là, dans ce coin. » Il lui désigne d'un mouvement de tête un emplacement libre qui ne gêne pas le passage dans l'entrée. Puis il lui adresse un large sourire, comme si de rien était. « Un petit dej, ça te tente ? Perso j'ai la dalle. » Il ne fait pas gaffe à l'heure qu'il est, lui, il vient de lever, c'est petit déjeuner obligatoire avant toute autre chose. Et il se dirige vers sa cuisine, espérant juste que le jeune homme va simplement le suivre. Une chose est certaine, que Dylan le suive ou non, Elijah est clairement suivi par ses deux adorables boules de poils, Nyx et Gaia, qui, elles aussi ont faim et veulent leur petit-déjeuner.
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MessageSujet: Re: i could tell you were a different breed, from the way you looked at me | DELIJAH   i could tell you were a different breed, from the way you looked at me | DELIJAH EmptyMar 29 Mar - 20:21

i could tell you were a different breed, from the way you looked at me.
Elijah Wahlberg & Dylan Roseburry
Rien qu'en mettant le pied hors de l'avion, l'écossais sait qu'il n'aimera pas ce pays. C'est trop petit, trop enclavé et encerclé de partout par d'autres pays sans une plage sur laquelle se prélassait en été. Il sait que l'Ecosse n'est pas vraiment un pays ensoleillé, mais au moins, il y a des plages, de même quand on va plus au sud de l’île. Ici, rien de tout ça et en plus il est tout seul. Ce bâtard de suisse n'est même pas là pour l'accueillir. D'abord il lui impose le jour d'arrivée, presque l'heure et en plus il n'est même pas là. Dylan va se le faire en arrivant chez lui, c'est sûr. Il choppe un taxi et lui donne l'adresse avant de faire le trajet à discuter avec le chauffeur. Heureusement qu'il a toujours été curieux de nature. Sans ça, il aurait été bien dans la merde parce qu'il n'aurait parlé qu'anglais. Sa mère a toujours eu un goût prononcé pour les chanteurs français et même si elle ne comprenait pas forcément les paroles, elle a toujours aimé la mélodie et les émotions qui se dégageaient de tout ça. Alors, pour comprendre ce qu'ils chantaient, Dylan s'était entêté et avait appris le français. Ainsi, il avait pu être capable de traduire les textes magnifiques de ces chanteurs francophones, parce qu'il n'y avait pas que des français dans le lot. Il y avait des canadiens et des belges. Après ce qui lui semble être une éternité, ils arrivent enfin devant la maison de Elijah. Le chanteur descend de la voiture avec des fourmis plein les jambes et les secoue pour enlever cette sensation désagréable. Il sort des valises du coffres et signe un autographe pour la fille du chauffeur avant de le laisser partir. Il observe quelques instants cette maison un peu vieillotte et maudit Wahlberg de l'avoir amené à se paumer dans ce petit patelin et ce shitty pays comme il l'appelle. Dylan soupire et va pour s'avancer vers la porte d'entrée quand il reçoit un appel de sa mère. Son sourire débile d'enfant apparaît sur son visage et ils discutent pendant quelques minutes avant qu'il ne raccroche pour se rapprocher de la porte et de frapper comme un forcené dessus. Il ne veut pas rester dehors, mais ne veut pas non plus voir la gueule de Eli. Cependant, il est bien obligé vu que sinon, il ne va jamais pouvoir faire cet album. En même temps, c'est de la faute de ce petit con. Il a beau avoir trois ans de plus que lui, il agit comme un gamin à le chercher sans raison sur les réseaux sociaux. C'est pourquoi, il est devant chez Elijah Wahlberg à attendre qu'il vienne lui ouvrir, officiellement pour l'album et officieusement pour comprendre les raisons de son acharnement dans cette cyberwar.

La porte s'ouvre alors sur Elijah, la gueule enfarinée. Non mais Dylan rêve, c'est pas possible autrement. Ce bâtard dormait tranquillement chez lui alors qu'il l'attendait comme un con à l'aéroport. Il lui envoie à la figure la remarque et rentre chez lui comme s'il était à Aberdeen dans la maison de sa mère. La remarque de Eli le fait se tourner vers lui. Il se fout de lui là non ? Et surtout quand il enchaîne sur la  tête que le bouclé fait, c'est comme si les yeux de Dylan pouvait envoyer des éclairs ou même des balles et le tuer sur place. Comment il va faire pour vivre avec lui pendant tout ce temps sans qu'ils ne s'étripent ? « Commence pas Wahlberg ! Quand on impose quelque chose, on a au moins la décence de se pointer au lieu de rendez-vous. C'est à se demander si quelqu'un t'as appris la politesse. Fucking bastard ! » répond-il en continuant de le toiser. Sérieux, ce mec même en vrai, il le fait sortir de ses gongs. Déjà que via twitter, dès qu'il voit qu'il a écrit quelque chose, il a envie de traverser l'écran et de l'étrangler de toutes ses forces. La voix de Elijah se fait entendre une nouvelle fois alors qu'il lui dit de poser ses affaires quelque part dans un coin. Dylan suit du regard le mouvement de tête du suisse pour voir un coin où il peut déposer ses valises sans que ça ne gêne personne. Parfait ! Avant de tout laisser là-bas, il enlève ses chaussures. Bah oui, c'est plus poli et surtout ça évitera qu'il se fasse engueuler par Elijah pour une quelconque raison superficielle. Il laisse tout en plan et se retourne une nouvelle fois vers le musicien quand il parle de déjeuner. C'est vrai qu'il a un peu faim. Dans l'avion on ne leur a donné qu'un croissant avec du jambon et du fromage dedans. Dégueulasse à souhaits. S'ils voulaient lui faire plaisir, c'est raté. C'est pas parce qu'il est écossais qu'il a des goûts de merde. Dylan laisse son regard parcourir le corps de Eli et se rend enfin compte qu'il ne porte qu'un sous-vêtement. Il se met alors à détailler chaque parcelle de ce corps et il doit bien avouer qu'il est pas mal le petit suisse. Exactement les bonnes proportions où il faut. Dylan se lèche les lèvres comme s'il était en face d'un en-cas et remercie le ciel de ne voir que le dos du châtain. Comment aurait-il pu justifier ce mouvement de langue incongru ? Cependant, même si physiquement le jeune homme est pas mal, le chanteur n'a jamais apprécié quelqu'un pour son physique. Il sait que mentalement, ils ne s'entendront pas. Déjà rien que parce qu'il l'a agressé sans raison. Mais bon, peut-être un miracle s’opérera et Elijah deviendra moins con. Dylan en doute, mais bon, il a espoir qu'ils arrivent à s'entendre au moins niveau musique. Ce serait déjà un bon point.

Le brun continue de le reluquer pendant qu'il le suit dans la cuisine en se faisant la réflexion qu'il en ferait bien son quatre heures. Il a toujours adoré les hommes tatoués et de ce qu'il voit, il en a partout. Il en voit plusieurs qui lui rappellent les siens. Sans le faire exprès, ils ont des tatouages en commun et ça le fait sourire. Peut être que finalement, ils ne sont pas si différent l'un de l'autre. Alors qu'il rejoint le châtain dans la cuisine, il sent quelque chose se frotter contre sa jambe. Il baisse les yeux sur le chat tricolore et s'agenouille pour lui donner des caresses. La réponse est immédiate et les ronronnements se font entendre tandis que sa main vibre sur le poil du chat. « Hello you. You know you're beautiful. » Le chat se met à rouler sur le dos pour recevoir de l'attention sur le ventre et Dylan remarque que c'est une femelle. Un sourire idiot s'affiche sur ses lèvres tandis qu'il ne fait plus attention à Elijah et qu'il est trop occupé avec la chatte. Ce n'est que quelques secondes plus tard, qu'elle commence à se débattre un peu et il la laisse partir. Il a trois chats qu'il a laissé à Aberdeen quand il a déménagé à Londres, ce qui lui a brisé le cœur bien entendu, et du coup, il a appris avec le temps à savoir quand un chat en a marre de l'humain. « Comment ils s'appellent ? Ils sont vraiment magnifiques. Ça me rappelle mes chats que j'ai laissé chez moi à Aberdeen. Neko, Gato et Mao. » Son sourire enfantin n'a pas quitté son visage alors qu'il parle de ses trois chats. Heureusement, Aileen lui envoie souvent des photos de ses chats. Mao d'ailleurs est devenu gros après son départ. Neko et Gato n'ont pas changé d'un poil. Alors qu'il pense à eux, la colère qu'il ressentait envers le suisse s'est totalement évaporée et il plante son regard vert dans celui bleu de son interlocuteur et lui sourit sincèrement. « Alors, y a quoi au petit dej ? » Ils vont peut-être arriver à s'entendre ces deux-là. Même si Dylan a quand même des doutes. S'il l'attaque sur les réseaux sociaux de cette façon, alors, qu'est-ce qu'il serait capable de faire en direct ?


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MessageSujet: Re: i could tell you were a different breed, from the way you looked at me | DELIJAH   i could tell you were a different breed, from the way you looked at me | DELIJAH EmptyMer 27 Avr - 1:48

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Elijah Wahlberg & Dylan Roseburry
L'envie de se retourner pour voir si Dylan le suit est grande, mais le châtain se retient, il ne va tout de même pas faire céder ses barrières cinq petites minutes après l'arrivée de l'écossais chez lui. De toute façon, la voix du chanteur résonne derrière lui, c'est donc qu'il le suit, pas besoin de vérifier. Cependant, ce qu'il lui dit, et surtout la façon dont il lui dit, l'insulte en plus, il ne peut clairement pas, ne pas réagir, ce ne serait pas digne de lui. « Écoute, oui j'ai zappé ton arrivée, mais je n’avais pas oublié. J'ai passé la nuit à l'hôpital, j'ai dû y amener ma grand-mère d'urgence elle a fait un AVC, et malgré l'heure à laquelle je suis rentré, j'ai préféré dormir un peu plutôt que de prendre le risque d'être trop fatigué pour conduire et de provoquer un accident avec toi dedans. J'étais HS et j'ai malheureusement pas entendu le réveil. Voilà, désolé si le fucking bastard a préféré faire passer sa famille avant ta petite personne, mais si tu veux je peux t'emmener voir ma grand-mère, t'iras l'engueuler parce que j'étais pas là pour toi, je suis certain qu'elle a fait exprès juste pour t'emmerder. » Elijah, n'avait pas spécialement envie de donner la vraie raison de son absence à l'aéroport, ça ne regarde en rien le bouclé, c'est sa vie privée et le chanteur n'est là que pour le boulot, du moins c'est ce qu'il croit. Seulement, le musicien s'énerve facilement et poussé à bout, il ne peut pas s'empêcher de l'ouvrir, évidemment d'une manière très agressive, sinon ce ne serait pas vraiment lui. Après ça, il fonce d'un pas décidé dans sa cuisine, et sort énervé, tout ce dont il a besoin pour nourrir ses chats, en claquant bien le sachet sur le plan de travail, manquant de peu de le voir s'éclater et se déverser par terre, chaque croquette roulant à droite à gauche, et pour la plupart, se réfugiant près du tapis où sont posées les gamelles des miss. Lorsqu'il lève le visage pour appeler Nyx et Gaia et leur dire que leurs gamelles sont prêtes, il voit la scène qui se déroule devant lui, Dylan en train de papouiller SON chat et la demoiselle qui semble apprécier ça et en redemande. Elijah est partagé entre attendrissement de voir ça et un sentiment de jalousie. C'est profondément débile, mais il est tellement remonté contre le bouclé dans l'immédiat, qu'il risque de prendre la moindre petite chose de travers. Heureusement, Nyx, sa femelle couleur charbon vient le distraire en se frottant contre lui, impatiente, elle, d'avoir sa ration. Il dépose les deux gamelles à leur endroit habituel et retourne ranger les croquettes avant de s'attaquer à leur propre petit déjeuner.

Le châtain est en train de sortir les bols et les couverts, quand la voix de Dylan résonne à nouveau dans la pièce. Eli retient à peine le soupire qui franchit tout de même ses lèvres. Il essaie tellement de le retenir, mais sans succès, qu'au final ça donne comme résultat plus l'effet d'un sifflement de serpent qu'un simple soupire d'exaspération. Mais qu'est-ce qu'il en a à foutre de comment ils s'appellent ses chats ? C'est pas complètement vrai, parce que bon, mine de rien, il vient d'apprendre que le chanteur partage son amour pour ces petites boules de poils, ça leur fait au moins ça comme autre point commun, en dehors de la musique et des tatouages. D'ailleurs, il faudra vraiment qu'ils abordent ce sujet un de ces quatre, parce qu'ils en ont plusieurs qui matchent et il a toujours trouvé l'anecdote amusante, mais là, ce n’est pas le moment. Et puisqu'il est en mode connard, il continue sur la lancée, autant le mettre dans le bain tout de suite, il aura le temps pour être un peu plus docile plus tard. « Et t'es allé les chercher où ces prénoms ? Dans un manga japonais ? » Il se met à rire, sans trop savoir pourquoi, parce qu'au fond, il n'y a absolument rien de drôle à ce qu'il vient de dire. S'en rendant compte, et ne voulant quand même pas trop abusé, l'idée était d'attiré son attention, ce qui est chose faite, ce serait quand même con de se le mettre encore plus à dos et faire qu'il le déteste pour de bon, alors il se rattrape en répondant à sa question, mais sans s'excuser, il ne faut pas pousser. « Les miennes s'appellent Nyx pour la noire, et Gaia pour celle qui est venue te réclamer des caresses. » Il marmonne un peu entre ses dents en parlant de Gaia, la jalousie étant toujours là, parce que Gaia, c'est la sauvage des deux, celle qui se laisse rarement approcher par personne hormis lui, sa mère et sa soeur et encore, elles deux ont mis du temps à l'apprivoiser. Alors la voir aller d'elle-même réclamer des caresses à un parfait inconnu, oui, ça le rend jaloux, il était jusque-là, le seul avec qui elle faisait ça. « Je les ai récupérer y'a deux ans, elles étaient encore bébés, quand la vieille Dorine est morte. Elle avait plein de chats qu'elle nourrissait et parfois je venais l'aider à s'en occuper. J'ai vu ces deux miss naitre et si je ne pouvais récupérer tous les chats de la vieille, je n'ai pas pu me résoudre à laisser Nyx et Gaia là-bas errer, je m'étais trop attaché à elles. » Le changement est flagrant dans la voix d'Elijah quand il parle de tout ça. Bien sûr qu'il a un coeur, même si c'est pas toujours très flagrant et là, il vient pour la première fois de le laisser paraitre devant le bouclé.

Les yeux émeraudes de Dylan planté dans les siens le perturbe, d'autant plus qu'il vient de dévoiler une faille chez lui, alors c'est plus que troublant de se perdre dans ce regard profond qui ne semble pas autant lui en vouloir que ce qu'il pensait, à la manière dont le chanteur lui pose la question sur le petit déjeuner avec désinvolture. Elijah en perd un peu de sa superbe. « Euh je... faut que je fasse couler le café, en attendant, je peux peut-être te montrer la maison et ta chambre. » Il appuie sur le bouton ON de la cafetière et se dirige vers l'entrée pour prendre les valises de Dylan et l'emmener à sa chambre. Du moins, il prend un des bagages du chanteur et le laisse se débrouiller avec le reste, puis il se dirige vers l'escalier pour aller à l'étage. « Ah merde, je parle de ca... » Le châtain trébuche sur la ceinture qu'il portait encore cette nuit et qu'il a enlevait à la va-vite en rentrant, pressé de s'en défaire pour aller dormir un peu. Elijah n'est pas forcément bordélique, mais quand il est crevé et pressé de se coucher, il se fiche un peu de si les choses sont rangées ou non, il s'en inquiètera au lever et encore. Voilà le résultat. Heureusement, il n'est pas tombé, il n'aurait plus que manqué de s'étaler devant l'écossais, ça aurait été trop la honte. Il se rattrape en reprenant sa phrase comme si de rien n'était, jetant la ceinture sur le côté d'un coup de pied. « Je disais donc, je parle de café, mais tu bois sûrement du thé, non ? Fin au cas où, je peux t'en faire, j'en ai quoi. » Là, pour le coup, Elijah se sent un peu con, mais bon, ça changera pas de d'ordinaire, sa manière enfantine d'agir le met souvent dans des situations plus cocasses les unes que les autres.


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MessageSujet: Re: i could tell you were a different breed, from the way you looked at me | DELIJAH   i could tell you were a different breed, from the way you looked at me | DELIJAH EmptyLun 16 Mai - 22:40

i could tell you were a different breed, from the way you looked at me.
Elijah Wahlberg & Dylan Roseburry
Le fait de ne pas avoir trouvé Elijah à l’aéroport qui l’attendait l’emmerde plus que ça n’aurait dû et il ne sait absolument pas pourquoi. Il aurait aimé que ce soit lui qui vienne le chercher et ne pas avoir à prendre un taxi pour arriver chez lui. Alors, Dylan fait part de son mécontentement au suisse. Sa réaction ne se fait pas attendre. Le bouclé s’attendait à tout, des insultes, peut-être même qu’il le frappe parce qu’il agit comme un enfant égoïste, mais il ne s’attendait pas à ce que Eli lui raconte pour sa grand-mère. Aussitôt, le chanteur se sent mal et baisse les yeux mal à l’aise. Comment peut-il être aussi con et ne penser qu’à lui ? Il a l’impression de ressembler à Wahlberg comme ça et il déteste ça. « Désolé, je savais pas. » murmure-t-il sans même savoir si le suisse l’a écouté vu qu’il part déjà dans sa cuisine. Dylan le suit sans bruit. Il se sent coupable de l’avoir obligé à lui révéler quelque chose qui fait partie de sa vie privée et qui doit être douloureux à raconter. Elijah ne voulait sûrement pas en parler avec lui. L’écossais se masse la nuque encore un peu mal à l’aise. Seulement, ce malaise se dissipe quand les deux chats de son hôte passent près de lui. Alors que le noir se presse pour rejoindre son maitre, le tricolore se met à se frotter à sa jambe. En grand amoureux des chats, Dylan se baisse pour lui donner des caresses alors qu’il se met à parler de ses trois chats qu’il a laissé à Aberdeen avec sa mère. Ça a été très difficile pour lui de laisser ses trois bébés derrière lui quand il a déménagé à Londres. Mais il savait qu’ils ne seraient pas heureux dans la capitale anglaise, étant trop habitués à se balader aux grés de leurs envies dans la campagne écossaise. Même si ça avait été la meilleure décision à prendre, lorsque les adieux étaient arrivés, ça n’en avait pas été plus facile. Le chanteur se sent nostalgique de ses chats et s’adonne aux caresses avec celui de Eli avec un grand sourire idiot sur le visage. Sourire qui ne disparait pas même lorsque le jeune homme se moque des prénoms qu’il a choisis pour ses félins. Son regard se fait juste un peu plus dur. « Non pas vraiment… Neko veut dire chat en japonais, t’étais pas loin. Gato veut dire chat en espagnol et Mao chat en chinois. Je voulais juste des prénoms originaux qui changent des Moustaches et autres Cannelles qu’on peut voir partout. »

Même s’il n’a aucune raison de se justifier, Dylan en ressent le besoin. D’où est-ce qu’il se permet d’émettre un jugement sur le choix des prénoms qu’il a donné à ses chats ? D’où ça le regarde ? ça y est, Elijah a commencé à le mettre encore un peu plus en colère. S’il avait tout oublié avec l’arrivée du chat dans ses pattes, maintenant, tout lui revient en pleine poire. Qu’est-ce qu’il donnerait pour pouvoir étrangler ce petit con arrogant. Heureusement, il ne pense pas longtemps à son meurtre puisque Elijah puisque la voix de ce dernier résonne à ses oreilles alors qu’il lui donne les noms de ses chattes. Nyx et Gaïa. Ce sont de très beaux prénoms et il peut clairement entendre la pointe de jalousie qui s’insinue dans ses paroles. Dylan a la décence de ne pas relever même si ça le démange grandement surtout après qu’il se soit moqué de ses chats à lui. A la place il lui laisse expliquer la raison qui l’a poussé à récupérer ces deux chattes. Cette histoire émeut Dylan qui peine à cacher les quelques larmes qui pointent au creux de ses yeux. Alors comme ça Elijah Wahlberg n’est pas qu’un connard qui l’agresse sur les réseaux sociaux. Il est doté d’un cœur et il peut aussi avoir une voix si douce quand il parle de ce genre de chose. Dylan se rend compte qu’avec cette histoire de chats, le jeune homme remonte dans son estime. Il passe de petit con arrogant à petit con emmerdeur. C’est un grand pas pour lui. Cependant, s’il monte il peut aussi descendre. Le chanteur espère que ce ne sera pas le cas. Même s’il est agressif avec lui par internet, il peut voir qu’il n’est pas vraiment si méchant que ça. En tout cas, pas autant qu’il veut bien le faire penser. A croire que ce n’est qu’une façade, une carapace qui cache quelque chose d’autre. D’ailleurs, c’est pour cette raison que le bouclé a accepté cette collaboration avec le suisse. Parce qu’il est curieux de savoir et de comprendre le pourquoi de ses agissements avec lui. Ce n’est pas comme si Dylan avait été une fois insultant avec le suisse. Avant même qu’il ne commence à l’attaquer dans les médias, l’écossais ne le connaissait ni d’Adam ni d’Eve et pourtant en très peu de temps il a réussi à s’insinuer dans son esprit, comme si c’était ce qu’il cherchait à faire depuis le début.

Du coup, pour éviter toutes tensions entre eux, le brun demande ce qu’il a préparé pour le petit déjeuner. Le faire directement comme ça, doit le surprendre parce qu’il semble hésiter quelques secondes avant de lui proposer du café. Etant invité, Dylan n’ose pas dire qu’il ne boit pas de café et que même il en a horreur. Ce n’est pas poli ce genre de comportement et ça ne lui correspond pas vraiment. Il sait très bien comment bien se comporter face à quelqu’un et donc, il n’ira jamais dire qu’il n’aime pas telle ou telle chose à son hôte. Il hoche simplement la tête et le suit pour récupérer le reste des bagages que le jeune homme a laissé. L’écossais le suit docilement comme un petit chien, suivit par les deux félins qui restent quand même à bonne distance intriguées par ce nouvel arrivant dans leurs vies. Elijah reprend la parole mais manque de tomber en marchant sur sa ceinture. Aussitôt, le bouclé lâche ses valises et esquisse un geste pour venir lui porter assistance. Cependant, il n’a pas besoin de faire un pas de plus que Eli s’est déjà débarrasser de l’objet indésirable et reprend comme si de rien était. Dylan ne peut pas s’empêcher de pouffer un peu devant l’air misérable qui se peint sur le visage de Elijah alors qu’il doit probablement se sentir très con parce qui vient d’arriver. « Puisque tu proposes, oui je ne bois que du thé. Donc, j’en veux bien s’il te plait. » Le jeune homme lui sourit avant de se rendre compte que l’eau qui coule pour le café fait remonter en lui des besoins pressants. Il avait réussi à occulter tout ça son esprit pendant le trajet. Mais, maintenant qu’il est chez Elijah il peut enfin aller se soulager. Seulement, il se rend compte qu’il ne connait pas l’emplacement des toilettes. Il se tortille alors sur lui mal à l’aise. Il n’est pas vraiment gêné par ça, mais c’est pas vraiment agréable de demander ce genre de chose. « Je peux t’embêter cinq secondes et te demander de me montrer où se trouve les toilettes, s’il te plait ? » Dylan sent son visage devenir aussi rouge qu’une tomate et se traite de toutes les noms. Il n’y a pas de quoi être gêné. Il va vivre avec lui normal qu’il demande où se situe ce genre d’endroit chez lui. Néanmoins, la gêne est bien présente alors qu’il continue de se tortiller comme s’il allait pisser sur lui d’une minute à l’autre. « Désolé, je me suis retenu tout le voyage… C’est un peu pressant. » Si le visage de Dylan pouvait devenir encore plus rouge il le ferait alors qu’il essaie de cacher sa gêne en regardant partout sauf dans la direction de Elijah.


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